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Trouvé dans un vide grenier. Attiré par la couverture énigmatique.
Pas déçu.
L'histoire est un gros jeu de piste qui fait voyager. C'est complexe au départ, mais tout se met en place progressivement. Il s'agit d'une quête pour retrouver la mémoire et accepter une vérité oubliée.
Le dénouement est très surprenant.
J'ai bien aimé.
Plus adepte des thrillers, je me suis laissée tenter par ce recueil de poésie prêté par une amie.
Le bilan est plutôt positif. La versification est très libre et cela m'a convenu. Des passages sont assez mélodiques et je me suis surprise à lire à voix haute par moments.
Pour ce qui est du fond, c'est assez étonnant. On alterne entre l'attaque du présent à la sulfateuse et des moments plus tendres et contemplatifs.
Je ne ne suis pas spécialiste du genre, mais à vrai dire, je dois reconnaître que je ne me suis pas ennuyée.
Cela reste de la poésie alors je ne mets pas davantage en note. Simple question de goût.
Livre très agréable. Un migrant trouve assistance auprès d'un bourgeois un peu désabusé. Dans cette relation en apparence déséquilibrée, c'est finalement l'autre qui va s'enrichir le plus.
L'histoire est aussi poétique avec cette tante a qui il écrit régulièrement comme on pourrait jeter une bouteille à la mer.
Difficile à notre époque de se lancer dans un recueil de poèmes. Sylvain Faurax a relevé le défi avec ce petit opus de 100 pages, en prenant pour thème conducteur l’absurdité de la vie moderne, le temps qui passe trop vite, bouffé par la routine absude. Ses mini-histoires sont des flâneries non sentimentales, non littéraires, non artistiques mais ancrées dans le réel, le quotidien.
L’auteur a pris le parti de faire court, juste quelques lignes, pour décrire des instants de vie. Mais certains sujets auraient mérités un développement plus long. Les thèmes sont toujours évoqués, jamais cités (la trottinette, le métro, les végans, la TV, les courses au supermarché…). De plus, tout est décrit dans sa forme la plus noire, la plus pessimiste. Il n’y a pas de titre, quasiment aucune ponctuation à part quelques virgules égarées. Il n’y a pas de rimes mises à part quelques unes, assez pauvres, à partir de la 3e partie. Difficile de se repérer, de revenir sur une page précédente sans ce lien. Heureusement, il y a une table des matières à la fin du recueil qui reprend les 4 parties avec la première ligne de chaque poème.
Personnellement, je préfère les poèmes avec des rimes, mêmes pauvres, écrits de façon plus classique, avec un titre évocateur, plus de rythme aussi. Je trouve que cela est plus fort, plus puissant. La brièveté des poèmes m’a gênée, passer si rapidement d’un sujet à l’autre fait que je ne retiens pas. Cela manque de punch, d’envie d’en découdre, de singularité. C’est juste un constat amer de petits faits ordinaires vus de façon médiocre par l’auteur.
On dit que tous les poètes sont amers. Cela se vérifie dans ce recueil qui dresse un quotidien maussade, triste, désabusé. Mais la vie ne se résume pas à cela, heureusement.
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