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Catherine Dousteyssier-Khoze

Catherine Dousteyssier-Khoze
Catherine Dousteyssier-Khoze est Professeure de littérature (XIXe siècle) et cinéma français à l'Université de Durham, au Royaume-Uni. Son premier roman, La logique de l'amanite (Grasset, 2015), a reçu le prix André Dubreuil du premier roman de la SGDL 2015 et le prix Fondation Prince Pierre de M... Voir plus
Catherine Dousteyssier-Khoze est Professeure de littérature (XIXe siècle) et cinéma français à l'Université de Durham, au Royaume-Uni. Son premier roman, La logique de l'amanite (Grasset, 2015), a reçu le prix André Dubreuil du premier roman de la SGDL 2015 et le prix Fondation Prince Pierre de Monaco « coup de cœur des lycéens » 2016.

Avis sur cet auteur (18)

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    Couverture du livre « La logique de l'amanite » de Catherine Dousteyssier-Khoze aux éditions Grasset Et Fasquelle

    Kryan sur La logique de l'amanite de Catherine Dousteyssier-Khoze

    « Je partage d'ailleurs avec le grand Nabokov une aversion innée pour toute interprétation délirante d'inspiration freudienne. Et j'attends de mon lectorat une certaine retenue, un brin de dignité ».

    Je fais donc court :

    Roman inventif et raffiné ;)

    « Je partage d'ailleurs avec le grand Nabokov une aversion innée pour toute interprétation délirante d'inspiration freudienne. Et j'attends de mon lectorat une certaine retenue, un brin de dignité ».

    Je fais donc court :

    Roman inventif et raffiné ;)

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    Couverture du livre « La logique de l'amanite » de Catherine Dousteyssier-Khoze aux éditions Grasset Et Fasquelle

    Manika sur La logique de l'amanite de Catherine Dousteyssier-Khoze

    Je suis passée totalement à coté de ce livre, j'ai trouvé le personnage Nikonor imbuvable : il étale sa culture, est prétentieux ne supporte et ne comprend personne.

    Il n'y a pas vraiment d'histoire, ce sont plutôt des réflexions sur la vie, sa vie, sa famille, sans lien ni cohérence emplie...
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    Je suis passée totalement à coté de ce livre, j'ai trouvé le personnage Nikonor imbuvable : il étale sa culture, est prétentieux ne supporte et ne comprend personne.

    Il n'y a pas vraiment d'histoire, ce sont plutôt des réflexions sur la vie, sa vie, sa famille, sans lien ni cohérence emplie de suppositions et de non dits. Au final lorsque l'on referme ce livre on se demande vraiment ce qu'il a voulu nous dire, nous faire comprendre ou imaginer.

    J'ai trouvé l'ambiance mal saine, pleine de haine.

    Pour finir quand même sur du positif, j'ai appris des choses sur les champignons et il y a de belles références littéraires, même si elles auraient pu être plus approfondies ou explicites (on ne va pas très loin avec un comme disait Voltaire !)

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    Couverture du livre « La logique de l'amanite » de Catherine Dousteyssier-Khoze aux éditions Grasset Et Fasquelle

    Marie HECKMANN sur La logique de l'amanite de Catherine Dousteyssier-Khoze

    Dans le cadre des 68 livres voyageurs, j'ai découvert ce livre.
    Comment le résumer? C'est assez difficile...
    L'auteur raconte la vie de Nokonor, Mr passionné de champignons et au métier original...(vous comprendrez vite son métier en lisant qlq pages) et vouant une haine sans bornes envers sa...
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    Dans le cadre des 68 livres voyageurs, j'ai découvert ce livre.
    Comment le résumer? C'est assez difficile...
    L'auteur raconte la vie de Nokonor, Mr passionné de champignons et au métier original...(vous comprendrez vite son métier en lisant qlq pages) et vouant une haine sans bornes envers sa soeur jumelle Anastasia dont il se sent persécuté...
    Livre surprenant, à l'écriture soupe et agréable...

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    Couverture du livre « La logique de l'amanite » de Catherine Dousteyssier-Khoze aux éditions Grasset Et Fasquelle

    Marie-Laure VANIER sur La logique de l'amanite de Catherine Dousteyssier-Khoze

    Je n’aurais pas forcément aimé partager une soupe de poudre de carcasses d’écrevisses finement broyées avec Monsieur Nikonor Pierre de la Charlanne -et pour cause- mais ses mémoires dans lesquels il avoue son amour pour les champignons, la littérature et les fromages et évoque en quelques lignes...
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    Je n’aurais pas forcément aimé partager une soupe de poudre de carcasses d’écrevisses finement broyées avec Monsieur Nikonor Pierre de la Charlanne -et pour cause- mais ses mémoires dans lesquels il avoue son amour pour les champignons, la littérature et les fromages et évoque en quelques lignes son enfance, sa famille dans son château de la Charlanne, en Corrèze, ses mémoires, dis-je, m’ont franchement beaucoup amusée !
    Qui est ce vieux monsieur ? C’est bien là le mystère ! Et ne comptez pas sur moi pour que je vous en dise plus, je me ferais disputer par ma mère qui a horreur que j’en révèle trop ! Alors, quelques indices seulement, si vous êtes sages !
    Notre Nikonor (ça existe un prénom pareil ?) brûle les derniers jours de sa vie : « Pour des raisons qui deviendront claires beaucoup plus tard, j’entreprends de rédiger un volume de mémoires, comme disent les Anglais. Nous sommes le 1er février, j’ai probablement quelques semaines de répit devant moi avant d’être rattrapé par les événements. »
    Fils d’un gentleman-farmer aisé, corrézien de souche et « spécialiste éminent du coprin chevelu » et d’une mère anglaise à « la fibre slave », il voue une haine farouche à sa sœur jumelle Anastasie, haine dont vous découvrirez bientôt la désopilante origine.
    Evidemment, quelques précepteurs érudits se sont succédé pour se charger de l’éducation des enfants mais ils ont quitté la place bien rapidement… on comprend pourquoi…
    Ce n’est pas le coprin chevelu (sacré nom ça aussi !) qui fascine notre Nikonor mais le cèpe « Graal de la forêt » et les amanites, à la fois pour des raisons esthétiques et, dirons-nous, pratiques…
    Il regrette d’ailleurs que l’on ne trouve aucune mention des dits champignons dans l’œuvre de Chateaubriand : « Ayant affectionné tout particulièrement l’automne, il a dû rencontrer, à un moment donné, un bolet ou un tapis de trompettes-de-la-mort. Il aurait pu faire un effort descriptif, la littérature ne s’en porterait pas plus mal aujourd’hui. A la réflexion, je suis prêt à parier, distrait rêveur mélancolique qu’il était, qu’il a dû en écraser pas mal (je parle surtout de cèpes), ce qui jette une lumière plus nuancée, voire controversée, sur François-René de Chateaubriand et le mouvement romantique en général. »
    D’ailleurs, Nikonor aurait aimé rédiger un essai sur Le Cèpe dans la littérature et les arts visuels : Esthétique(s) de l’absence.
    Son activité préférée consiste donc à « aller chercher des cèpes dans une belle forêt, moussue de préférence. » J’en vois déjà qui revivent en lisant ces mots….
    Gare à ceux qui oseraient s’aventurer sur son domaine un petit panier à la main !
    Humour noir très british garanti… plus une bonne dose de loufoque et de délire verbal… Le tout écrit dans un style perfect.
    A frémir de rire et à consommer sans modération… quoique…

    http://lireaulit.blogspot.fr/

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