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Le neuvième jour

Couverture du livre « Le neuvième jour » de Herve Bazin aux éditions Grasset Et Fasquelle
Résumé:

L'épidémie ! ce que craignait par-dessus tout le Dr Alleaume est arrivé. La sur-grippe, la tueuse dont le grand biologiste recherche le vaccin depuis des années, a fondu sur un monde livré sans défenses ni frontières à ses ravages.Le héros de ce roman n'imaginait pas que la science puisse lui... Voir plus

L'épidémie ! ce que craignait par-dessus tout le Dr Alleaume est arrivé. La sur-grippe, la tueuse dont le grand biologiste recherche le vaccin depuis des années, a fondu sur un monde livré sans défenses ni frontières à ses ravages.Le héros de ce roman n'imaginait pas que la science puisse lui offrir, un jour, un rôle d'apprenti sorcier. Aurait-il lui, le savant, hâté le désastre en cherchant à le rendre impossible ?A travers un prodigieux récit qui ne ménage aucun répit, c'est sur un problème très actuel que se penche une fois encore le romancier.Dieu, est-il dit, créa le monde en six jours. Le septième, il se reposa. Le huitième, il chassa Adam et Eve du Paradis terrestre. Nous vivons ce neuvième jour où, qui sait ? l'hommme, prenant la place de son créateur, risque de détruire la création.

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Avis (1)

  • Ce roman de science-fiction est le dernier livre d'Hervé Bazin, qui était âgé de plus de quatre-vingts ans lorsqu'il l'écrivit. Il est particulièrement amusant à relire aujourd'hui car il interroge les méfaits de la science : serait-il possible qu'un virus ravage la planète ? Des biologistes...
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    Ce roman de science-fiction est le dernier livre d'Hervé Bazin, qui était âgé de plus de quatre-vingts ans lorsqu'il l'écrivit. Il est particulièrement amusant à relire aujourd'hui car il interroge les méfaits de la science : serait-il possible qu'un virus ravage la planète ? Des biologistes pourraient-ils inventer un virus susceptible de se répandre à une vitesse éclair et d'abattre une partie de la population mondiale ? La fin du livre, derniers mots de Bazin, romancier à succès de son vivant mais un peu perdu de vue actuellement, mérite d'être citée : "Moi aussi, lors de mon enterrement, je serai couvert de fleurs, quitte à l'être d'ordures la semaine suivante. Qu'importe ? Je ne le saurai jamais. Tout est bien, dans le pire : retraite anticipée, tout à fait motivée, sans démission suspecte, sans équivoque. Je me termine, je me tais, je m'éteins discrètement dans la satisfaction rare de disparaître. La Providence, parfois, a d'étranges aspects."

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