Des ouvrages pour les adultes et les plus jeunes, qui aident à découvrir et comprendre la culture sourde
En l'an 1118, le célèbre théologien Pierre Abélard est sollicité par un influent chanoine pour parfaire l'éducation de sa ravissante nièce, Héloïse. D'une réputation irréprochable, Abélard n'a qu'une seule et unique maîtresse : la dialectique. Mais les charmes irrésistibles d'Héloïse s'apprêtent à lui faire découvrir une dimension jusqu'alors inconnue : l'amour fou, quel que soit le prix à payer. Le plus grand logicien de son temps et sa jeune et brillante élève se laissent alors emporter par une passion au-delà de toute rationalité.
Partant du principe que l'essentiel de l'amour tient dans la rencontre entre deux corps - idée trop souvent occultée par la bienséance, y compris par Héloïse et Abélard, dont la célèbre correspondance n'évoque qu'entre les lignes l'aspect charnel de leur liaison -, Jean Teulé, plus rabelaisien que jamais, s'est donné pour but de combler certaines lacunes. Et qui mieux que ce trouvère d'aujourd'hui pour chanter la folie de ces deux amants éternels ? Qui mieux que lui pour oser s'emparer du couple le plus mythique de l'histoire médiévale et relater, avec la joyeuse obscénité de l'époque, leurs pratiques érotiques ?
Car il en fallait du courage, du talent, de la rage d'écrire pour faire naître un tel texte, transgressif, débridé, ambitieux et pétri de l'amour de ces deux amants légendaires, à jamais enlacés dans le même tombeau du Père-Lachaise. Grâce à cette version punk de la romance d'Héloïse et Abélard, Jean Teulé nous met en bouche un amour qui touche au divin, et nous fait, à nous, simples mortels, entrevoir l'absolu.
Un roman historique pornographique.
Les ébats sexuels d'Abélard et Héloïse. Abélard, professeur reconnu, est tombé amoureux de cette jeune personne qui en connait bien plus sur l'amour que les autres jeunes filles de son âge. Abélard s'en donne à coeur joie, au risque de perdre sa belle renommée, car les langues se délient vite. Il faut dire que les amoureux ne cherchent même pas à se cacher.
Je me suis vite lassée. J'ai abandonné.
Un roman historique pornographique.
Les ébats sexuels d'Abélard et Héloïse. Abélard, professeur reconnu, est tombé amoureux de cette jeune personne qui en connait bien plus sur l'amour que les autres jeunes filles de son âge. Abélard s'en donne à coeur joie, au risque de perdre sa belle renommée, car les langues se délient vite. Il faut dire que les amoureux ne cherchent même pas à se cacher.
Je me suis vite lassée. J'ai abandonné.
roman historique
Initiation à la sexualité !
Héloïse et Abélard refont le kamasutra. Certains passages sont très drôles mais leur véritable amour derrière ces actes sexuels l'emporte !!! Vive le sexe réciproque crie Abélard ...
Mais hélas leur fougue ne peut être comprise ... et ce pauvre Abélard sera puni : Désormais il désirera toujours Héloïse mais il ne pourra plus ! On connaît le mythe
Je n'avais jamais lu Jean Teulé dont j'avais entendu d'élogieuses critiques.
Hélas, quelle ne fut pas ma déception de lire en majeure partie un récit d'ébats érotiques sans grand intérêt à mes yeux!
Bon, j'espère que si je "tombe" sur un autre roman du même auteur, il n'en sera pas de même...
Bon ben voilà. Je viens de battre un record.
Abandon à la page 30, et il en restait encore 300.
Dire qu’à une époque, je guettais impatiemment les parutions de Jean Teulé.
J’ai du faire une indigestion
Il faut dire que les derniers m’ont lassée. Toujours les mêmes recettes, beaucoup de graveleux et de sordide.
Il y en a un ou deux que j’ai eu du mal à finir.
Et là, franchement, je n’ai eu ni l’envie ni la force.
c'est un livre plein d'enthousiasme, de jouissance, de gourmandise, d'amour sans tabou, cru.
Héloïse, orpheline recueillie par son oncle se voit instruite par le meilleur professeur de lettre de l'époque. Rapidement, l'apprentissage si l'on peut dire se fait avec travaux pratiques !!
J'ai retrouvé avec plaisir la verve de Jean Teulé qui nous décrit un moyen âge loin de ce qui nous est enseigné. C'est drôle, enjoué agréable, dépaysant.
J'ai vraiment adoré
On a tous entendu plus ou moins parler de la légende d’Héloïse et Abélard, considérés comme des amoureux fous au même titre que Tristan et Yseult, Roméo et Juliette… Tout cela est vague dans la mémoire et voilà que Jean Teulé est venu rafraîchir tout ça, à sa manière. Son langage est cru. Il ne prend pas de gants, nommant les choses par leur nom, parlant d’une époque où la religion chrétienne domine tout, où les plus instruits sont forcément des religieux.
Héloïse, ouille ! Le titre paraît curieux, sorte de pied de nez fait à l’histoire mais il se révèle, au final, très juste, tant cette orpheline confiée à son oncle, le chanoine Fulbert, connaîtra de mésaventures, après une trop courte période de pur bonheur charnel.
Justement, cet oncle veut confier sa nièce, d’à peine 18 ans, fraîche émoulue du couvent d’Argenteuil, à l’enseignant le plus célèbre de l’époque, « l’orateur le plus écouté et le plus populaire » : Pierre Abélard. Celui-ci est aussitôt séduit par « la jeune blonde à la voix douce… Il bande. »
Érotique au possible, Jean Teulé ne nous épargne aucun détail, parle de cunnilingus, de fellation : « il polissonne la bagasse, bélute la donzelle. » On nage en pleine luxure. Le mot amour étant féminin à l’époque, ils se donnent du « ma amour » mais surtout, appliquent la maxime latine : « Omnia tu mihi facis tibi facio », tout ce que tu me fais, je te le fais… et ça n’est pas triste !
Bien sûr, de telles aventures se ressentent sur les cours du professeur, totalement absorbé par « sa amour », passant son temps à « hurtebiller » Héloïse qui n’est pas en reste non plus. Hélas, Fulbert découvre la chambre de sa nièce : « Ça sent là-dedans le foutre de vieux bouc en rut, la vulve de petite truie en chaleur, la sueur et d’autres odeurs. »
Sa vengeance sera terrible et les deux fols amants accumuleront les épreuves : « Adieu plaisir, adieu ma jeunesse, » clame Héloïse qui a dû aller accoucher de leur fils, Astrolabe, dans la famille d’Abélard, près de Nantes, puis épouser « sa amour ». La suite est jalonnée de couvents, de monastères, de l’horrible castration du héros qui doit aussi affronter ses pairs de l’Église voulant le réduire au silence.
Avant d’être réunis au Père-Lachaise, Héloïse et Abélard ont pu s’écrire, échanger des missives. « Je suis la plus malheureuse des malheureuses, la plus infortunée des infortunées, » avoue Héloïse qui « commence à en avoir ras la moule de son devenu cul béni de mari ! »
Avec Héloïse, ouille !, Jean Teulé s’en est donné à cœur joie, bien loin de l’amour courtois et tellement proche de Rabelais…
Chronique à retrouver sur : http://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/
Il devient lourd l'auteur dont j'ai lu tous les livres, je suis un peu déçue.
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