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Veronique Ovalde

Veronique Ovalde

Véronique Ovaldé, née en 1972, est un écrivain français.

« Ce que je sais de Vera Candida » a obtenu le prix Renaudot des lycéens, le prix France Télévision et le Grand Prix des Lectrices de Elle. Elle a publié à ce jour huit romans ainsi que des nouvelles et des livres pour la jeunesse.

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Véronique Ovaldé, née en 1972, est un écrivain français.

« Ce que je sais de Vera Candida » a obtenu le prix Renaudot des lycéens, le prix France Télévision et le Grand Prix des Lectrices de Elle. Elle a publié à ce jour huit romans ainsi que des nouvelles et des livres pour la jeunesse.

Crédit photo Jean-Luc Bertini © Flammarion

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Articles en lien avec Veronique Ovalde (8)

Avis sur cet auteur (129)

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    Couverture du livre « Fille en colère sur un banc de pierre » de Veronique Ovalde aux éditions Flammarion

    DELFERRIERE sur Fille en colère sur un banc de pierre de Veronique Ovalde

    J'ai été de suite plongée dans ce récit. Ce n'est pas tant le pourquoi, le comment de la disparition de Mimi, c'est comment une famille se reconstruit avec ce passif et elle, sa culpabilité, sa famille qui l'a rejetée, et qui revient sur ses terres (d'ailleurs on s'y croirait presque). Tellement...
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    J'ai été de suite plongée dans ce récit. Ce n'est pas tant le pourquoi, le comment de la disparition de Mimi, c'est comment une famille se reconstruit avec ce passif et elle, sa culpabilité, sa famille qui l'a rejetée, et qui revient sur ses terres (d'ailleurs on s'y croirait presque). Tellement bien écrit. Un style vraiment propre avec ces énumérations, des paragraphes entiers, on prend son souffle et on lit. Les enfants m'ont reprochée de ne plus lâcher le livre. Je le conseille.

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    Couverture du livre « Ce que je sais de Vera Candida » de Veronique Ovalde aux éditions J'ai Lu

    sylvie adam sur Ce que je sais de Vera Candida de Veronique Ovalde

    Cela pourrait se passer n'importe où, dans un pays, une ville ou un quartier pauvre. Cela se passe en Amérique latine et cela ajoute un peu d'exotisme à l'histoire. Cela pourrait se passer à n'importe quelle époque, car souvent l'histoire se répète. Ici, c'est l'histoire de trois générations de...
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    Cela pourrait se passer n'importe où, dans un pays, une ville ou un quartier pauvre. Cela se passe en Amérique latine et cela ajoute un peu d'exotisme à l'histoire. Cela pourrait se passer à n'importe quelle époque, car souvent l'histoire se répète. Ici, c'est l'histoire de trois générations de femmes qui se répète. Elle tombent enceintes d'un homme qu'elle n'aiment pas, n'ont pas voulu cet enfant. Elles réagissent de différentes manières, mais la dernière, Vera Candida quitte son lieu de naissance pour une autre vie. Celle ci ne sera pas facile au début, mais elle finit par rencontrer le grand amour. C'est passionnant et on veut toujours aller plus loin, apprendre comment ces femmes vont réagir. Et ces femmes ont une telle force, qu'on réagit de même. On ne s'apitoie pas. Jusqu'au moment où on apprend une
    vérité qu’on n’aurait pas voulu apprendre. Tout s'est écroulé et moi avec... L'écriture est très fluide et parfois, l'auteur n'utilise même plus la ponctuation. A découvrir absolument.

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    Couverture du livre « Et mon coeur transparent » de Veronique Ovalde aux éditions J'ai Lu

    sylvie adam sur Et mon coeur transparent de Veronique Ovalde

    Tout y est !
    - L'intrigue est passionnante. le narrateur perd sa femme et se rend compte que celle-ci lui a caché beaucoup de choses, lui a menti, avait une double vie, au profit d'une idéologie politique...
    - L'écriture est belle. Elle n'est pas fluide et c'est un livre à lire lentement car...
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    Tout y est !
    - L'intrigue est passionnante. le narrateur perd sa femme et se rend compte que celle-ci lui a caché beaucoup de choses, lui a menti, avait une double vie, au profit d'une idéologie politique...
    - L'écriture est belle. Elle n'est pas fluide et c'est un livre à lire lentement car l'auteur choisit ses mots. Parfois, il s'emballe et la phrase n'a plus besoin de ponctuation.
    - L'émotion est possible. On se prend à aimer le narrateur qui est un être naïf, soucieux et excentrique à la fois. On a de la peine pour lui.
    Je vous recommande ce livre.

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    Couverture du livre « La grâce des brigands » de Veronique Ovalde aux éditions Editions De L'olivier

    sylvie adam sur La grâce des brigands de Veronique Ovalde

    Maria Christina apprend que sa soeur est maintenant maman et il faut qu'elle prenne en charge son neveu, la maman en étant incapable. C'est ainsi que commence l'histoire, et que Maria Christina va nous être dévoilée.
    Le narrateur remonte à son enfance : un père qui malgré sa présence, se...
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    Maria Christina apprend que sa soeur est maintenant maman et il faut qu'elle prenne en charge son neveu, la maman en étant incapable. C'est ainsi que commence l'histoire, et que Maria Christina va nous être dévoilée.
    Le narrateur remonte à son enfance : un père qui malgré sa présence, se révélera absent, une mère un peu dingue, proche de Dieu et profondément raciste, et une soeur différente d'elle-même et qui suite à un accident (dont elle se sent coupable) ne sera jamais plus comme avant. Une seule possibilité s'offre alors à elle, faire des études pour s'échapper de ce petit monde où elle étouffe. Elle veut devenir écrivain. Elle va cohabiter alors avec Joanne. Celle-ci vit au jour le jour et finit par accoucher d'un enfant dont elle ignore qui est le père. Grâce à elle, Maria Christina va devenir la secrétaire de Claramunt, un écrivain qu'elle admire depuis longtemps. Celui-ci s'éprend d'elle et ils deviennent amants.
    Les phrases sont longues et entraînantes, à tel point qu'on lit vite, sans s'arrêter. le roman est très naïf, à l'image de Maria Christina. Et en même temps, c'est truffé d'humour. Quand le narrateur nous fait par exemple une description de la maison des parents de Maria Christina, il insiste sur le fait que les toilettes sont au fond du jardin : impossible pour la mère de comprendre pourquoi un endroit dégageant des odeurs nauséabondes puisse se trouver au centre d'une habitation...
    J'avais adoré du même auteur Ce que je sais de Vera Candida. Ce roman est d'un autre genre mais aussi talentueux et la femme a toujours la première place.