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Serge Berthier

Serge Berthier
Serge Berthier est professeur de physique à l'université Denis Diderot - Paris 7 et effectue ses recherches sur les structures biologiques, la couleur et le biomimétisme au Laboratoire d'optique des solides de l'Université Pierre et Marie Curie - Paris 6. Il enseigne l'optique des solides au DESS... Voir plus
Serge Berthier est professeur de physique à l'université Denis Diderot - Paris 7 et effectue ses recherches sur les structures biologiques, la couleur et le biomimétisme au Laboratoire d'optique des solides de l'Université Pierre et Marie Curie - Paris 6. Il enseigne l'optique des solides au DESS " Optique et matériau " et au DEA " Optique et photonique " dont il est le correspondant pour l'Université Denis Diderot, ainsi que l'électromagnétisme et la physique des lasers en premier cycle, à l'IUT Paris-Jussieu.

Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « 23 ans et 23 jours » de Serge Berthier aux éditions Archipel

    Yv Pol sur 23 ans et 23 jours de Serge Berthier

    Voilà un roman qui débute bien, très bien même, j'ai noté plusieurs phrases drôles, bien tournées comme par exemple celle qui parle du barbier amputé de sa main gauche : "On ne savait pas si le tremblement était le résultat de son amputation ou du ratafia. Depuis la perte de sa main, le barbier...
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    Voilà un roman qui débute bien, très bien même, j'ai noté plusieurs phrases drôles, bien tournées comme par exemple celle qui parle du barbier amputé de sa main gauche : "On ne savait pas si le tremblement était le résultat de son amputation ou du ratafia. Depuis la perte de sa main, le barbier buvait deux fois plus qu'avant. Comme avant il buvait tout le temps, c'était un exploit dont le village était au demeurant assez fier." (p.10)

    Et puis, ça se gâte un peu lorsque le romancier parle de l'enfance de Margot et de la pédophilie du curé qui la déflore ainsi qu'il l'a fait pour nombre d'autres jeunes filles. C'est tourné de manière humoristique, mais j'avoue que ça m'a mis mal à l'aise qu'on en puisse plaisanter.

    Puis, la suite est longue, tarde à démarrer et l'on reste à Pianiccia (en Corse, pour les ceusses, incultes comme mézigue qui ne le savaient pas) longtemps avant que le Liberté n'arrive et Serge Berthier tire sur la corde de son humour qui s’effiloche. Finalement, ce qui me retient dans ce roman me déçoit, je le quitte sans regret.

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    Couverture du livre « 23 ans et 23 jours » de Serge Berthier aux éditions Archipel

    Marie HECKMANN sur 23 ans et 23 jours de Serge Berthier

    Le spitch: Pianiccia, début du XIXe siècle. Louis, noble désargenté, ressasse ses aventures passées dans le château décrépit de ses ancêtres. Auprès de lui, Petit-Jean, un enfant qu’il élève comme son fils, et l’ancien corsaire Mahmoud, cuisinier et barbier. Tous attendent le retour du...
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    Le spitch: Pianiccia, début du XIXe siècle. Louis, noble désargenté, ressasse ses aventures passées dans le château décrépit de ses ancêtres. Auprès de lui, Petit-Jean, un enfant qu’il élève comme son fils, et l’ancien corsaire Mahmoud, cuisinier et barbier. Tous attendent le retour du légendaire Balthazar, dit « le Capitaine », qui sillonne les mers. Quand ce dernier resurgit, la fine équipe décide de courir l’aventure et embarque pour la Chine lointaine. Ils sont suivis de la jolie Margot, une prostituée dont Louis ne songe pas à se séparer. Et les voilà partis pour Makassar et les mers d’Asie !
    Mais, en vue de Macao, le navire est immobilisé. Alors que l’eau vient à manquer, Louis et Balthazar décident de partir à la recherche d’une source et sont attaqués par des pirates. Le ketch du « vicomte », aventurier et photographe, se porte à leur secours… avec Margot à son bord !
    Passager clandestin du Liberté, le lecteur essuiera typhons et abordages, mettra pied à terre dans des jungles impénétrables, se verra même réduit au cannibalisme, sans espoir de revoir un jour les rives de la Corse…
    Je n'ai pas adhéré à l'écriture de S Berthier: j'ai trouvé cela long, trop détaillé et peut être que le monde de la piraterie et moi ne sont pas faits pour s'apprécier... Par contre, si vous aimez les histoires vraies de pirates, son historique, je suis sure que vous aimerez ce roman aux anecdotes vraies et bien renseignées.