Des ouvrages pour les adultes et les plus jeunes, qui aident à découvrir et comprendre la culture sourde
Je ne suis pas emballée.
Un homme retrouvé mort, par des enfants, pendu dans une forêt.
Son amoureux découvert massacré dans son hôtel particulier.
Meurtre suivi d'un suicide ? Est-ce aussi simple que cela ?
L'inspectrice Annie Cabbot et l'inspecteur en chef, Alan Banks sont chargés de l'affaire.
Secrets d’État, attentat, espionnage, trafic de drogue, délinquance ; tout cela va s’entremêler.
Malheureusement, je n'ai trouvé aucun rythme et finalement très peu de suspense dans ce polar.
C'est bien écrit mais 500 pages, des longueurs et une lecture laborieuse.
C'était mon premier Peter Robinson. Je ne suis pas sûre de renouveler l'expérience.
J'aime bien Robinson. Ses romans sont du pur policier anglais. Pas rien de nouveau mais tellement efficace.
Dans ce roman, l'enquête sur fond de racisme est bien mené. Nous ne découvrons qu'à la toute fin ce qui s'est vraiment passé. Les personnages sont intéressants, il n'y a aucune longueur. Ce roman se lit très bien. Un bon divertissement.
Acheté au hasard, j'ai été agréablement surpris par ce roman. Il n'y en a pas trop, tout est fait avec justesse. J'aurais par contre aimé une fin un peu plus surprenante, par contre j'ai passé un bon moment à le lire.
Une nouvelle enquête de l’inspecteur-divisionnaire Alan Banks, signée de l’auteur anglo-canadien Peter Robinson.
Ici, Banks est aux prises avec un meurtre récent qui en révèle vite de plus anciens.
On voyage beaucoup dans l’Angleterre profonde, plus géographiquement que sociologiquement, nous avons même droit à une intéressante plongée dans Toronto (Canada) ; on fume et on boit beaucoup dans la Vallée des ténèbres (que de bières citées, jusqu’à plus soif) et on fait également le tour de la discothèque de l’auteur qui nous cite tous les titres que son inspecteur de héros écoute au gré de ses déplacements en voiture. Ceci pourrait sembler être une critique mais pas du tout.
Si ce n’est le titre, mal choisi à mon avis, qui suggère plutôt un film d’horreur, cette Vallée des ténèbres est remarquablement écrite et l’enquête superbement menée dans un style très anglais : flegmatique où même la violence semble passer sans hauts de cœur.
On peut éventuellement regretter que les pistes et fausse-pistes s’enchaînent trop vite à la fin du livre bien qu’il y en ait assez peu, mais on n’est pas déçu par le final. Très bon polar.
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