Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Ce catalogue présente les portraits funéraires de l'Égypte romaine peints sur toile, sur bois et en cartonnage, et complète le premier tome, paru en 2004, consacré aux masques en stuc. Le musée du Louvre possède une collection riche et variée, du portrait en pied figuré sur un linceul de presque trois mètres de haut, à celui esquissé sur une étiquette de momie, haute d'une dizaine de centimètres.
La diversité caractérise, non seulement les formats, les matériaux, la facture picturale et graphique mais aussi et surtout les portraits des défunts eux-mêmes, tous singuliers.
Divers chapitres précèdent les quatre-vingt-trois notices composant le catalogue : une introduction qui montre l'enracinement des oeuvres dans la tradition funéraire pharaonique, un historique de la collection, l'identification des essences de bois et des pigments utilisés pour les portraits dits « du Fayoum », ainsi qu'une étude des inscriptions grecques et démotiques.
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