Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Portraits de la rue et du preau

Couverture du livre « Portraits de la rue et du preau » de Valerian Dirken aux éditions Atramenta
  • Date de parution :
  • Editeur : Atramenta
  • EAN : 9789523404717
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Résumé 28 portraits de personnages qui font le dur apprentissage de la rue. Décider où dormir la nuit prochaine : au métro ou au samu ? Faire ou non la file, que certains trouvent humiliante, pour le repas de midi au restaurant du coeur ? Ces personnages sont sans domicile fixe. Ils circulent... Voir plus

Résumé 28 portraits de personnages qui font le dur apprentissage de la rue. Décider où dormir la nuit prochaine : au métro ou au samu ? Faire ou non la file, que certains trouvent humiliante, pour le repas de midi au restaurant du coeur ? Ces personnages sont sans domicile fixe. Ils circulent dans les grandes villes entre tous ces lieux qui font réseau pour eux.

Des portraits également de détenus en prison, avec leurs parcours, leurs attentes et le sens qu'ils donnent à leur peine et à leur vie. Une grève, inhumaine du point de vue des détenus, sans service minimum. Des allers-retours rue-psychiatrie-prison. Oui, il y a des passerelles puissantes.

Ces portraits cherchent à comprendre le parcours suivi et le choix subjectif de certains. L'arrivée à la rue est-elle une issue malheureuse ? Oui sans doute en général, mais acceptons l'hypothèse que cela peut être une étape de transition sur un chemin de vie, ou encore un objectif inconscient. La prison de son côté est une peine infligée. Oui, mais peut-elle être un point d'apaisement dans le tumulte intérieur, un lieu où déposer les armes ? Ou alors un lieu où enfin on mange à sa faim et où on loge aux frais de la princesse ?

Originalité et intérêt L'idée n'est pas de décrire la misère de la rue et de la prison, cela a déjà été fait, mais de donner un éclairage sur des parcours individuels qui en deviennent attachants. Regard incisif, rencontre. Mais de quel droit ? Du droit à la recherche d'une vérité subjective qui explique tout, en tout cas beaucoup de choses. Autant y croire. Loin de la furor sanandi , cette envie furieuse de vouloir le bien d'un SDF ou d'un détenu alors qu'il n'en veut pas, l'idée est d'essayer de comprendre. Simultanément s'ouvre alors un dialogue qui permet que se tisse un lien social. Et là est la mission du bénévole. Ces portraits en témoignent.

Donner votre avis

Récemment sur lecteurs.com