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La pêche, un art de l'impatience?
Pour la plupart, pêche rime avec patience, passivité, ennui. C'est l'éternelle caricature du pêcheur en papi affalé devant sa canne, les yeux rivés à son flotteur qui ne coule jamais.
Or, à lire les récits ou à regarder les photos de Jacques-Étienne Bovard, qui rôde depuis son enfance le long des rivières et des lacs, on verra que la pêche peut se décliner en inventaire émotionnel extraordinairement contrasté et intense : le temps devient affût passionné, au seuil d'un autre monde, où se confondent la mémoire et le rêve. La rivière se livre, ou ne se livre pas, telle une femme irrésistible et insaisissable. Quel ennui? Quelle patience? Le pêcheur rôde, ruse, rêve, délire, jubile, explose - de joie, de fureur. Et c'est toujours un morceau de lui-même qu'il finit par ferrer, dans les clairs-obscurs où le regard se perd.
JACQUES-ÉTIENNE BOVARD
Texte de la quatrième de couverture de l'édition originale
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