Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
Si Dieu est " quelque chose de tel que rien de plus grand ne puisse être pensé " lorsqu'Il se penche librement vers nous, et s'il n'y a jamais " oui et non " mais seulement " oui " (2 Co 1, 20) lorsque Jésus son Fils accomplit à la Croix glorieuse son dessein de gratuite bienveillance, comment faire du libre arbitre de la créature raisonnable un pouvoir souverain et arbitraire de dire oui ou non au Dieu toujours plus grand ? L'ayant perçu, saint Anselme a préparé sa Lettre sur l'Incarnation en pensant, dans les trois traités de 1080-1090, la liberté de l'homme (et de l'ange) comme le pouvoir qui lui est remis d'aimer Dieu plus que tout et de se plaire en cet amour. Plus tard, dans les dernières années de sa vie (1107-1108), il a pu montrer par l'absurde que la grâce de Dieu et la liberté de l'homme s'accordent au-delà de tout mode, et ce parce qu'un tel accord se vit dans la prière que Jésus nous a enseignée. Aucun Père de l'Église, semble-t-il, ne l'a dit avec autant de cohérence et de bonheur dans l'expression.
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