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John Scalzi

John Scalzi

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Avis sur cet auteur (9)

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    Couverture du livre « La société protectrice des Kaijus » de John Scalzi aux éditions L'atalante

    kadeline sur La société protectrice des Kaijus de John Scalzi

    La société protectrice des Kaijus raconte l’histoire de Jamie qui avait un super job mais avec la pandémie se retrouve livreur de repas. C’est le début d’une descente aux enfers mais le hasard va le sauver. Un jour, il livre un de ses anciens camarades de classe. Ce brave jeune homme lui propose...
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    La société protectrice des Kaijus raconte l’histoire de Jamie qui avait un super job mais avec la pandémie se retrouve livreur de repas. C’est le début d’une descente aux enfers mais le hasard va le sauver. Un jour, il livre un de ses anciens camarades de classe. Ce brave jeune homme lui propose un job un petit peu particulier. Il doit être le remplaçant de dernière minute pour une Société Protectrice d'animaux dont on ne peut pas parler avant d'être sur place. Jamie accepte la surprise et part vers l’inconnu. Comme le titre l’indique il ne va pas protéger des petits chatons tout mignons. C’est un texte terriblement drôle où l’on ne s'arrête jamais pour respirer. J’ai beaucoup aimé la façon dont il illustre la bêtise internationale de certains puissants et leur décalage par rapport aux personnes de terrain. C’est tellement réaliste ce dédain de personnes puissantes qui pensent donc tout savoir mieux que tout le monde tout comme le fait qu’au lieu d'écouter ceux qui savent parce qu'ils le vivent au quotidien, ils n’en font qu'à leur tête. J’ai adoré suivre les conséquences que ça peut avoir et les interactions entre chercheurs et grands riches. Le fait qu’ils peuvent subventionner donne-t-il tous les droits ? Le besoin de financement rend compliqué le fait de les envoyer balader même quand leur santé, leur vie et la vie de tout le monde est en jeu. Ce genre de dilemme a une place non négligeable dans ce texte pour le plus grand plaisir des lecteurs. C’est aussi plein de références à la culture pop. C’est un excellent roman, drôle, fun et avec des aspects sociétaux importants.

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    Couverture du livre « L'Interdépendance Tome 2 : les flammes de l'empire » de John Scalzi aux éditions L'atalante

    kadeline sur L'Interdépendance Tome 2 : les flammes de l'empire de John Scalzi

    Grâce aux flux qui permet un voyage rapide, chaque planète est spécialisée. Chacune dépend donc de toutes les autres pour sa survie. Si cette répartition semble un excellent gage de paix, elle est aussi sa principale faiblesse : que faire quand les flux sont en train de disparaitre, isolant des...
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    Grâce aux flux qui permet un voyage rapide, chaque planète est spécialisée. Chacune dépend donc de toutes les autres pour sa survie. Si cette répartition semble un excellent gage de paix, elle est aussi sa principale faiblesse : que faire quand les flux sont en train de disparaitre, isolant des planètes qui peuvent survivre en autarcie ? C’est au début de cet événement critique, que l’on rencontre Cardénia, Kiva et Marce. Trois personnages dont l’importance et l’entente est a priori plus qu’improbable et pourtant ils sont au coeur du plus grand chambardement depuis des siècles. Entre un scientifique doué mais maladroit, une emperox arrivée là par défaut et une fille de guilde malembouchée ne pensant qu’au sexe et au profit, l’avenir de l’interdépendance est mal partie. Comme l’effondrement de l’empire n’est pas suffisant, on peut ajouter une bonne dose de manigances pour prendre le pouvoir et sauver sa peau. L’idée de base et l’univers sont géniaux. Les personnages principaux et secondaires sont haut en couleur tout en étant crédible. Les manigances sont bien pensées et nombreuses. Les différentes problématiques sur ce que les puissants considèrent comme primordial en période de crise est angoissant de réalité. J’ai beaucoup aimé la variété de personnages féminins qui chacun à sa façon est réussi. Sur le même principe, la gestion des règles est un détail de l’histoire très pertinent. Entre réflexions politiques, actions, aventures, complots et personnages il y a tout pour passer un bon moment. Et pour conclure sur cette excellente trilogie, on retrouve ce qui pour moi est la force de cet auteur de l’humour et des réparties aux petits oignons.

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    Couverture du livre « L'Interdépendance Tome 3 : la dernière emperox » de John Scalzi aux éditions L'atalante

    kadeline sur L'Interdépendance Tome 3 : la dernière emperox de John Scalzi

    Grâce aux flux qui permet un voyage rapide, chaque planète est spécialisée. Chacune dépend donc de toutes les autres pour sa survie. Si cette répartition semble un excellent gage de paix, elle est aussi sa principale faiblesse : que faire quand les flux sont en train de disparaitre, isolant des...
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    Grâce aux flux qui permet un voyage rapide, chaque planète est spécialisée. Chacune dépend donc de toutes les autres pour sa survie. Si cette répartition semble un excellent gage de paix, elle est aussi sa principale faiblesse : que faire quand les flux sont en train de disparaitre, isolant des planètes qui peuvent survivre en autarcie ? C’est au début de cet événement critique, que l’on rencontre Cardénia, Kiva et Marce. Trois personnages dont l’importance et l’entente est a priori plus qu’improbable et pourtant ils sont au coeur du plus grand chambardement depuis des siècles. Entre un scientifique doué mais maladroit, une emperox arrivée là par défaut et une fille de guilde malembouchée ne pensant qu’au sexe et au profit, l’avenir de l’interdépendance est mal partie. Comme l’effondrement de l’empire n’est pas suffisant, on peut ajouter une bonne dose de manigances pour prendre le pouvoir et sauver sa peau. L’idée de base et l’univers sont géniaux. Les personnages principaux et secondaires sont haut en couleur tout en étant crédible. Les manigances sont bien pensées et nombreuses. Les différentes problématiques sur ce que les puissants considèrent comme primordial en période de crise est angoissant de réalité. J’ai beaucoup aimé la variété de personnages féminins qui chacun à sa façon est réussi. Sur le même principe, la gestion des règles est un détail de l’histoire très pertinent. Entre réflexions politiques, actions, aventures, complots et personnages il y a tout pour passer un bon moment. Et pour conclure sur cette excellente trilogie, on retrouve ce qui pour moi est la force de cet auteur de l’humour et des réparties aux petits oignons.

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    Couverture du livre « L'Interdépendance Tome 1 : l'effondrement de l'empire » de John Scalzi aux éditions L'atalante

    kadeline sur L'Interdépendance Tome 1 : l'effondrement de l'empire de John Scalzi

    Grâce aux flux qui permet un voyage rapide, chaque planète est spécialisée. Chacune dépend donc de toutes les autres pour sa survie. Si cette répartition semble un excellent gage de paix, elle est aussi sa principale faiblesse : que faire quand les flux sont en train de disparaitre, isolant des...
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    Grâce aux flux qui permet un voyage rapide, chaque planète est spécialisée. Chacune dépend donc de toutes les autres pour sa survie. Si cette répartition semble un excellent gage de paix, elle est aussi sa principale faiblesse : que faire quand les flux sont en train de disparaitre, isolant des planètes qui peuvent survivre en autarcie ? C’est au début de cet événement critique, que l’on rencontre Cardénia, Kiva et Marce. Trois personnages dont l’importance et l’entente est a priori plus qu’improbable et pourtant ils sont au coeur du plus grand chambardement depuis des siècles. Entre un scientifique doué mais maladroit, une emperox arrivée là par défaut et une fille de guilde malembouchée ne pensant qu’au sexe et au profit, l’avenir de l’interdépendance est mal partie. Comme l’effondrement de l’empire n’est pas suffisant, on peut ajouter une bonne dose de manigances pour prendre le pouvoir et sauver sa peau. L’idée de base et l’univers sont géniaux. Les personnages principaux et secondaires sont haut en couleur tout en étant crédible. Les manigances sont bien pensées et nombreuses. Les différentes problématiques sur ce que les puissants considèrent comme primordial en période de crise est angoissant de réalité. J’ai beaucoup aimé la variété de personnages féminins qui chacun à sa façon est réussi. Sur le même principe, la gestion des règles est un détail de l’histoire très pertinent. Entre réflexions politiques, actions, aventures, complots et personnages il y a tout pour passer un bon moment. Et pour conclure sur cette excellente trilogie, on retrouve ce qui pour moi est la force de cet auteur de l’humour et des réparties aux petits oignons.