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D'Ombremont M E.

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    Couverture du livre « Bratva : larme bleue » de D'Ombremont M E. aux éditions Sharon Kena

    Cassandre Drd sur Bratva : larme bleue de D'Ombremont M E.

    Bratva est un roman qui m’a plu même si je suis mitigée sur certains points.
    Nous faisons la rencontre de Rayna, une machine à tuer fabriquée par Vassily Aslanov, le boss du cartel Aslanov. Alors que Rayna sort d’un de ses « spectacles », Eleyna, la fille de Vassily se fait agresser et Rayna...
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    Bratva est un roman qui m’a plu même si je suis mitigée sur certains points.
    Nous faisons la rencontre de Rayna, une machine à tuer fabriquée par Vassily Aslanov, le boss du cartel Aslanov. Alors que Rayna sort d’un de ses « spectacles », Eleyna, la fille de Vassily se fait agresser et Rayna tue ses assaillants. Cela marque la reprise de la guerre entre le clan Aslanov et le clan Matven, de manière extrêmement violente…
    On rentre direct dans le vif du sujet avec le titre, qui fait référence à la mafia russe. Cela m’a intéressée car j’apprécie la littérature immergée dans le monde de la mafia –à plus forte raison lorsque j’ai constaté que l’auteur faisait référence dans sa préface aux Velazquez d’Aspi Deth que j’avais adoré !
    Bratva est un roman particulièrement sombre tant par l’atmosphère que l’on s’en fait que par les personnages. Rayna, la protagoniste est une jeune femme qui est exempte de toute humanité. Elle n’est plus qu’une machine à tuer, dépourvue d’empathie et d’une cruauté sans nom. C’est assez difficile de suivre un tel personnage principal parce que l’on ne peut pas s’y identifier et l’on a du mal à l’appréhender. J’étais fascinée par sa personnalité mais elle me mettait aussi mal à l’aise et c’est plutôt étrange comme sensation.
    Heureusement, avec l’apparition d’Eleyna, une once d’humanité peut se discerner chez Rayna. Cela fissure –de manière infime- la carapace totalement impassible et insensible de cette dernière et nous permet d’être un peu moins distants d’elle.
    Les descriptions que l’on nous offre dans le roman sont… Assez atroces. Je parle des « crimes » de Rayna. Elle tue avec une telle envie, une telle force mais de manière absolument horrible. Si j’ai été particulièrement mal à l’aise à certains moments, j’ai aussi été captivée par ces fameux meurtres. On ressent vraiment le côté artistique de Rayna qui se considère comme une artiste et non comme une bouchère, comme elle le dit à plusieurs reprises. C’est ainsi que je l’ai ressenti, ses mises en scène relèvent de l’art. De la même manière, j’ai été intéressée par les souvenirs des exécutions qu’elle commet, qui se constituent de draps recouverts de sang qu’elle collectionne. Cela m’a fait penser au Dexter de Jeff Lindsay qui collectionne dans une boîte une tâche de sang pour chacune de ses victimes.
    Je tiens donc à préciser pour ceux qui voudraient lire ce roman que le « réservé à un public averti » du résumé est bien là pour une raison. Il faut avoir le cœur accroché en lisant les meurtres de Rayna, entre mutilations et énucléation, vous serez servis !
    Je regrette en revanche que l’on n’ait pas plus d’informations sur le cartel d’Aslanov. Certes l’histoire se focalise plus sur l’histoire de Rayna et Eleyna, mais j’aurais apprécié avoir une vue d’ensemble plus large. Mais peut-être qu’il y aura une suite avec une découverte plus intense de ce monde si spécial !
    En définitive, j’ai apprécié ma lecture parce que j’aime le monde des mafieux en littérature, avec les guerres de clans, les vengeances et les trahisons. J’ai aussi apprécié la relation entre Rayna et Eleyna. Mais les meurtres et mutilations m’ont parfois vraiment mises à l’aise et j’aurais aimé un peu plus d’informations sur le cartel Aslanov et ce qui a lié dans le passé Vassily et Rayna.

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