Astrid Houssin signe ce récit sur la douleur et la reconstruction
C'est un long poème. Une parole de femme. De celle qui déborde parce qu'elle s'est tue trop longtemps. De celle qui, jusque-là, n'avait pas osé parce que parler n'était pas permis. Parce que la vie était ainsi. Là où elle était. Et qu'il fallait faire avec. Encaisser. Comme les autres. Pour ne pas en rajouter. Pour les enfants. Et puis, il y a l'incroyable énergie du départ. Une sorte de force intangible, capable d'abattre les murs. Rebâtir ailleurs. Plus loin. Avec la victoire qui porte. La fierté de l'avoir fait. Le temps perdu à rattraper. La ronde des amants. Avant la fatigue et le doute. Et le prix exorbitant de la liberté. C'est un long poème qui ne juge pas. Qui ne bâtit pas de nouveaux murs. Mais qui creuse. Cherche à comprendre. Essaie la place de l'autre. C'est un poème qui observe. Scrute au plus près. Cherche l'âme. Comme chez Marguerite Duras. C'est un long poème écrit en lettres rouges.
Rouge poitrine, exactement.
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