L’auteur congolais remporte la 6e édition du Prix avec "Le Psychanalyste de Brazzaville", publié aux éditions Les Lettres Mouchetées
Écrire est une possession est une dépossession. On vit on meurt traversés d'orbes, soumis à des gravités prodigieuses aussi bien qu'insensées. Où on voudrait en maîtriser les forces, ce qu'on saisit ou écarte échappe, ravit encore. Dans son âpre lucidité, le poème rougeoie des influences qui déportent, recomposent et détruisent, il tend au merveilleux. Tout commence dans la violence : une gravitation impérieuse d'avoir été active dans l'inconnu affleure. Alors le philtre est déjà bu ; le sort opère, comme de tout temps. Ces poèmes aspirent dans une succession de fenêtres qui réfléchissent, tremblant encore de sa présence, les visages sombres d'une aimée.
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