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New-York, 1940.
Navit, une jeune artiste désargentée, hérite d'un journal de charme quelque peu désuet : Gentlemind.
Combative, intelligente et audacieuse, elle s'improvise patronne de presse et se lance le défi insensé d'en faire un magazine moderne.
Hantée par le souvenir de son amant disparu sur le front en Europe, elle doit affronter la réalité d'une société américaine en plein âge d'or mais résolument machiste...
Un récit profondément touchant, sur trois décennies, du rêve américain au féminin !
« Comment une femme peut-elle diriger une revue pour hommes ? »
Suite et fin du diptyque Gentlemind que l’on attendait avec impatience. Quel plaisir de retrouver cet univers des années 40-50, ces couv de magazines, ce dessin vintage et explosif de Antonio Lapone.
De juin 1945 à décembre 1975, c’est 30 années d’évolution des États-Unis mais aussi 30 années de changement du monde que l’on regarde à travers le prisme de « Gentlemind ». Cette revue pour hommes est donc dirigée par Navit, une femme qui s’efforce de placer son magazine en haut des titres à succès.
Dans ce deuxième tome, Gentlemind va tout connaître : la réussite, les soubresauts politiques, les conflits d’égo… et le retour d’Arch Parker, illustrateur dont Navit était tombée amoureuse.
C’est toujours aussi impressionnant graphiquement, élégant, foisonnant, expressif, le dessin de Lapone suit à merveille l’évolution de la société.
Au final, c’est avec un peu d’émotion que j’ai refermé « Gentlemind »… Le beau cahier graphique de fin me donne envie d’y retourner…depuis le début !
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