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Mario Alberti

Mario Alberti
Né à Trieste en Italie en 1965, Mario Alberti crée très jeune sa première bande dessinée. Diplômé d'économie, il laisse tomber le marketing pour écrire Holly Conick, une nouvelle publiée 1990. En 1994, il gagne le prix Albertarelli avec Le Chant de la Baleine. En 2002, il réalise la série Morgana... Voir plus
Né à Trieste en Italie en 1965, Mario Alberti crée très jeune sa première bande dessinée. Diplômé d'économie, il laisse tomber le marketing pour écrire Holly Conick, une nouvelle publiée 1990. En 1994, il gagne le prix Albertarelli avec Le Chant de la Baleine. En 2002, il réalise la série Morgana avec Luca Enoch pour Les Humanoïdes Associés. En 2004, sur des textes de Kurk Busiek, il débute la série Redhand. Depuis 2006 il collabore avec DC Comics, réalisant de nombreuses couvertures dont Aquaman, Wonderwoman, Dr Fate et Shadowpact.

Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Le mur Tome 3 : homo homini spes » de Mario Alberti aux éditions Glenat

    Lionel Arnould sur Le mur Tome 3 : homo homini spes de Mario Alberti

    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    Aïe, aïe, aïe mes amis ! Quelle déception. Déception à la hauteur des espoirs que m’avaient donnés les deux premiers tomes. Déception parce que, en dehors de tout jugement sur le contenu effectif de cette BD, je n’ai tout simplement...
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    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    Aïe, aïe, aïe mes amis ! Quelle déception. Déception à la hauteur des espoirs que m’avaient donnés les deux premiers tomes. Déception parce que, en dehors de tout jugement sur le contenu effectif de cette BD, je n’ai tout simplement rien compris à ce qui se passait.

    Alors, certes, mon Q.I. et moi voulons bien prendre notre part de responsabilité dans ce naufrage que fut la lecture de ce troisième tome mais, au minimum, cette responsabilité est partagée. Partagée notamment avec Mario Alberti le scénariste… Parce que cette histoire d’orbes, de Cerbère mécanique aussi incontrôlable que puissant, de morts-vivants électro-magnétiques et de frangin maudit ça part quand même un peu dans tous les sens.

    Et puis, il y a aussi la responsabilité de Mario Alberti le dessinateur. Et là, c’est d’autant plus délicat de vous dire cela moi qui adore son dessin. Oui, c’est encore l’un de ces paradoxes odradekien qui vont me valoir les moqueries de notre boss bien-aimé (A.K.A. Samba), mais je surkiffe totalement le dessin de Mario Alberti. Son trait nerveux, son mouvement et, évidement, ses couleurs (une tuerie ses couleurs)… Mais le rendu global, le découpage et le côté un peu crade poussé à l’extrême rendent tout simplement nombre de pages absolument illisibles graphiquement. En tout cas pour moi. Je l’avais déjà remarqué à la lecture du deuxième tome (que j’avais dû relire pour bien l’appréhender), et cette fois encore, ce fut la même chose. Mais je me dis que ce n’est pas normal d’avoir à relire une BD une deuxième fois pour arriver ne serait-ce qu’à la comprendre au premier degré.

    Donc, entre un scénario tout de même assez alambiqué (pour ce que j’ai pu en retirer) et un dessin sublime mais trop fouillis, je me suis perdu. C’est évidemment bien dommage car j’imagine, comme c’était parti, que ça m’aurait sûrement plu… Mais bon… Cette BD rencontrera certainement son public… C’est juste que je n’en fais pas partie…

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