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Adrienne Weick

Adrienne Weick
Adrienne Weick est née est 1982 et a vécu une partie de sa vie à l'étranger, en particulier au Moyen-Orient, au Canada et en Belgique, avant de s'installer à Paris. Elle est diplômée de sciences politiques (IEP Paris). La Septième Diabolique est son premier roman.

Avis sur cet auteur (5)

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    Couverture du livre « La septième diabolique » de Adrienne Weick aux éditions Robert Laffont

    julien Raynaud sur La septième diabolique de Adrienne Weick

    Avis mitigé.

    Très agréable découverte de la vie et de l'oeuvre de Barbey d'Aurevilly. Des passages plaisants.

    Mais beaucoup de points faibles aussi. Je ne ressortirai pas la formule « Da Vinci Code du pauvre », c'est excessif ; et puis on ne cherche pas ici la descendance du Christ. On...
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    Avis mitigé.

    Très agréable découverte de la vie et de l'oeuvre de Barbey d'Aurevilly. Des passages plaisants.

    Mais beaucoup de points faibles aussi. Je ne ressortirai pas la formule « Da Vinci Code du pauvre », c'est excessif ; et puis on ne cherche pas ici la descendance du Christ. On cherche une nouvelle inédite d'un auteur.

    Mes reproches pêle-mêle :

    - Les personnages sont caricaturaux : la jeune fille rebelle, les deux héros que tout oppose, etc…

    - Il est totalement factice que les personnages récitent leurs connaissances lors de dialogues. On saisit bien que c'est l'auteure qui nous livre sa science historique. Il fallait donc amener ces données autrement. Certes, ce n'est pas facile…

    - Adrienne Weick en fait systématiquement trop dans ses descriptions. Il y a toujours un adjectif superflu, qui donne une sensation de ridicule à force. Exemple dans un passage de 3 lignes page 149 : les ombres sont « fantasmagoriques », le sourire est « ironique », la boite d'allumettes est « inutile » et le geste est « agacé ». Un peu plus loin, une excavation est qualifiée de « sournoise ». Ce tic d'écriture se voit comme un masque africain au milieu d'un intérieur bon chic bon genre.

    - Ce livre est présenté comme un polar sélectionné parmi 200 manuscrits. Alors, je suis désolé, ce n'est pas un polar. C'est une énigme littéraire et généalogique, ce qui est d'ailleurs bien plus original.

    - L'explication généalogique qui est justement révélée à la fin du roman est un sommet d'ennui et d'explications laborieuses. Moi j'ai sauté des lignes, car il était hors de question que je m'impose un tel gratin d'informations. J'estime que ce n'est pas au lecteur de faire des efforts de compréhension. C'est uniquement à l'auteur de faire des fiches ! A la fin du roman, Adrienne Weick nous gratifie d'un arbre généalogique récapitulatif, mais c'est trop tard ! Et s'il avait figuré plus tôt, cela ruinait tout le récit par lequel les personnages débroussaillent les relations de parenté entre les différents protagonistes. Bref, quelque chose cloche, et c'est le cœur même du roman.

    - Globalement, il y a tromperie sur la marchandise, et la couverture tendance glauque-gothique y participe en nous faisant croire qu'on va lire un sombre polar. En réalité, c'est une distraction façon Miss Marple, qui aurait supposé une couverture colorée et un titre amusant, c'est d'ailleurs la tendance du moment. On aurait alors pu ranger le livre au côté de « Tante Grenadine et l'énigme de la théière à muffins ».

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    Couverture du livre « La septième diabolique » de Adrienne Weick aux éditions Robert Laffont

    Réjane MARTEAU sur La septième diabolique de Adrienne Weick

    Riches découvertes à travers ce polar d'un auteur dont je ne connaissais que le nom : Jules Barbey d'Aurevilly, personnage central qui sert de trame à une enquête passionnante pleine de rebondissements. Du mystère autour d'un manuscrit caché par son auteur quelque part dans la nature, une...
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    Riches découvertes à travers ce polar d'un auteur dont je ne connaissais que le nom : Jules Barbey d'Aurevilly, personnage central qui sert de trame à une enquête passionnante pleine de rebondissements. Du mystère autour d'un manuscrit caché par son auteur quelque part dans la nature, une enquête minutieuse menée par un auteur passionné et un jeune étudiant, conjointement aux descendants de Barbey dont l'oeuvre "les diaboliques" ferait état d'un 7ème manuscrit compromettant. Intrigue plaisante, parfois tirée par les cheveux, mais non dénuée d'intérêt.

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    Couverture du livre « La septième diabolique » de Adrienne Weick aux éditions Robert Laffont

    Emeline Lorek sur La septième diabolique de Adrienne Weick

    Ce roman, le premier d'Adrienne Weick, a obtenu le Grand Prix des Enquêteurs 2022 .

    Nous suivons donc Anatole et Etienne dans les rues de Valognes sur les traces de l'auteur Barbey d'Aurevilly dont l'oeuvre est entourée de mystère.
    Sur fond de secret de famille, ils vont faire face à de...
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    Ce roman, le premier d'Adrienne Weick, a obtenu le Grand Prix des Enquêteurs 2022 .

    Nous suivons donc Anatole et Etienne dans les rues de Valognes sur les traces de l'auteur Barbey d'Aurevilly dont l'oeuvre est entourée de mystère.
    Sur fond de secret de famille, ils vont faire face à de multiples interrogations afin de mettre à jour une nouvelle non publiée : la septième diabolique.

    C'est un roman simple à lire, accessible.
    Cependant j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages qui manquaient de profondeur, de passif.

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    Couverture du livre « La septième diabolique » de Adrienne Weick aux éditions Robert Laffont

    Bookliseuse sur La septième diabolique de Adrienne Weick

    Valognes- Cotentin : Anatole Derck, écrivain la cinquantaine voyage dans le cadre d’un échange « une journée avec un auteur » avec Etienne étudiant à bord d’un train quand celui-ci s’arrête brusquement en pleine campagne. Anatole décide alors d’en profiter pour descendre de celui-ci et d’aller à...
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    Valognes- Cotentin : Anatole Derck, écrivain la cinquantaine voyage dans le cadre d’un échange « une journée avec un auteur » avec Etienne étudiant à bord d’un train quand celui-ci s’arrête brusquement en pleine campagne. Anatole décide alors d’en profiter pour descendre de celui-ci et d’aller à pied jusqu’au village de Valognes qu’il n’a pas revu depuis 27 ans.

    Malheureusement pour Anatole, son périple, qui ne devait durer qu’une journée va se prolonger quand celui-ci se retrouve immobiliser suite à une malheureuse chute. Etienne décide de rester avec celui-ci comme « aidant ».

    Commence alors pour eux une enquête sur les traces d’un manuscrit disparu qui révélerait un terrible secret…

    Des secrets cachés, de la haine, du ressentiment, ou comment des non-dits peuvent provoquer un drame.

    Une lecture assez mitigée. Impossible de m’attacher aux personnages ni principaux et encore moins secondaire. Une multitude d’informations complètement inutiles qui ne font pas avancer l’histoire. La fin a été pour moi assez décevante, je ne vous dirais pas pourquoi par peur de ne dévoiler une partie de l’intrigue. Un livre lu et aussitôt oublié…

Bibliographie de Adrienne Weick (1)

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