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Rentrée de janvier – Episode 2 : les coups de cœur des anciens jurés du Prix Orange du Livre

Encore plus de découvertes, auteurs à suivre et lectures indispensables

Rentrée de janvier – Episode 2 : les coups de cœur des anciens jurés du Prix Orange du Livre

Le tour d'horizon de la rentrée littéraire se poursuit !

Retrouvez la crème des conseils de lecture du moment, présentée avec enthousiasme par d’anciens membres du jury du Prix Orange du Livre. Des nouveautés vivement recommandées ! Nouveaux talents de la littérature, valeurs sûres, textes étonnants : voici la suite de cette sélection spéciale...

  • Les coups de coeur de la rentrée littéraire de janvier - Deuxième partie

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      Couverture du livre « L'affaire Rambla ou le fantôme de Ranucci » de Agnes Grossmann aux éditions Presses De La Cite

      L'affaire Rambla ou le fantôme de Ranucci de Agnes Grossmann

      Agnès Grossmann a essayé d'insuffler un peu d'humanité dans un drame qui a défrayé la chronique, remettant la famille de la victime au centre de son enquête journalistique. C'est avec beaucoup d'empathie et de sensibilité envers la famille Rambla que l’auteure retrace son destin tragique après une enquête approfondie. Un réquisitoire contre les rumeurs, les à peu-près journalistiques, la recherche du sensationnalisme à tout crin sans tenir compte de l'aspect humain et des dégâts provoqués. Passionnant et bouleversant. Calimero29

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      Couverture du livre « Bleu nuit » de Dima Abdallah aux éditions Sabine Wespieser

      Bleu nuit de Dima Abdallah

      Avec une plume délicate et très poétique, Dima Abdallah nous raconte le récit d’un homme qui tente à tout prix d’effacer son passé en vivant dans la rue.
      Un texte à la fois original et sensible qui pousse à la réflexion. Lilia Tak-Tak

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      Couverture du livre « Le blues des phalènes » de Valentine Imhof aux éditions Rouergue

      Le blues des phalènes de Valentine Imhof

      A travers des évènements importants de l’Histoire américaine (la terrible explosion d’Halifax et les grèves syndicales suite à la crise de 1929), l’autrice s’intéresse aux destins de petites gens. Ils ne sont que de simples victimes de la situation mais sont le reflet des conséquences des grands drames.
      Sur un rythme lent et obsédant, Valentine Imhof nous procure une approche sociologique qui fait appel à tous les sens et nous fait passer par toutes les émotions. Un grand roman ! Les livres de K79

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      Couverture du livre « Parle tout bas » de Elsa Fottorino aux éditions Mercure De France

      Parle tout bas de Elsa Fottorino

      L'angle de vue choisi par Elsa Fottorino pour évoquer cet acte qui l'a meurtri profondément est inhabituel. Dans cet article, j'ai été interpelée par la sincérité qui se dégage de l'échange avec K. Papillaud, tout particulièrement quand elle dit s'être embrouillée dans ses différentes déclarations : "L’avocat de la défense a signalé des divergences concernant un détail avec ma version d’origine. On oublie énormément de choses." Elsa ne cherche pas d'excuse et explique simplement ce qui, au cours de ces 15 années, a été détruit, reconstruit, modifié. Galirad

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      Couverture du livre « Le pain perdu » de Edith Bruck aux éditions Editions Du Sous Sol

      Le pain perdu de Edith Bruck

      Parce qu’elle a senti que sa mémoire allait être bientôt défaillante, à 90 ans Édith Bruck a décidé d’écrire, pas un simple texte à ajouter à ses déjà nombreux écrits, mais un récit unique. Le récit impossible d’une vie, celle d’une des dernières grande voix, d’un des derniers témoins de la Shoah.
      Le pain perdu, c’est celui que la famille n’a jamais pu manger, la famille déportée dans les camps, la famille disloquée. C’est n’avoir aucun mot pour dire, même à son retour. C’est un récit autobiographique à la lecture nécessaire, douloureuse, indispensable. Dominique Sudre

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      Couverture du livre « Départ de feu » de Adrien Gygax aux éditions Plon

      Départ de feu de Adrien Gygax

      Une écriture en allegro vivace pour une histoire qui fait écho à notre société superficielle où l’égo a remplacé l’âme. Teintée d’humour, ça roxe sérieusement du poney et Adrien Gygax sait comment faire monter la curiosité dans l’esprit du lecteur.
      Délicieusement cruel de réalité, cruellement délicieux d’ensauvagement. Squirelito

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      Couverture du livre « Cette nuit qui m'a donne le jour » de Frederic Perrot aux éditions Mialet Barrault

      Cette nuit qui m'a donne le jour de Frederic Perrot

      Un père disparu, un deuil à faire, et puis soudain la découverte d'un secret que ce père avait caché toute sa vie.
      Ce second roman aux personnages attachants est à la fois rythmé et riche d'émotions. Cécile Sarabia

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      Couverture du livre « Le roi fantôme » de Maaza Mengiste aux éditions Editions De L'olivier

      Le roi fantôme de Maaza Mengiste

      Le roi fantôme, nouveau roman de la romancière Éthiopienne Maaza Mengiste, ne peut que susciter curiosité et désir.
      Apprendre comment Benito Mussolini en 1935 a vu ses fantasmes colonialistes "dézingués" par une armée de femmes résistantes mérite toute notre attention, d'autant plus quand on sait avec quel talent l'auteur avait traité un autre épisode de l'histoire éthiopienne dans Sous le regard du lion.  Jean-François Simmarano

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      Couverture du livre « La décision » de Karine Tuil aux éditions Gallimard

      La décision de Karine Tuil

      Karine Tuil livre une nouvelle fois un récit magistral avec un regard infaillible sur la justice et ceux qui sont à son service en décortiquant avec une précision d’horloger suisse tous les mécanismes du  glaive et de la balance.
      Formidable portrait de femme également avec cette juge Alma Revel passionnée par son métier mais qui est avant tout un être humain avec sa sensibilité – pas évident de toujours mettre le mode carapace – et ses interrogations. Squirelito

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      Couverture du livre « Celle qui criait au loup » de Delphine Saada aux éditions Plon

      Celle qui criait au loup de Delphine Saada

      L'auteure fouille les blessures d'une écriture nerveuse, sans pathos et crée une tension qui, on le pressent, ne peut que déboucher sur un terrible drame.
      Je referme ce roman la gorge serrée, bouleversée par le personnage d'Albane, détruite par l'absence de mots et noyée par la vérité qui jaillit, réduisant à néant toutes les protections mentales et psychiques qu'elle avait érigées, toute sa vie, pour survivre. Calimero29

Pour découvrir l'épisode 1 de cette rentrée, rendez-vous ici.

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