L’auteur congolais remporte la 6e édition du Prix avec "Le Psychanalyste de Brazzaville", publié aux éditions Les Lettres Mouchetées
Depuis quelques années, une nouvelle forme de défense de la religion est apparue : elle ne fait pas tant l'apologie d'une religion particulière que du religieux qui, comme tel, serait un besoin fondamental des individus et des sociétés ; elle émane d'intellectuels qui souvent ne s'affichent pas eux-mêmes comme des croyants (Debray, Vattimo). C'est en réalité, chez le philosophe américain William James, il y a un siècle, que ces idées ont été exprimées pour la première fois et d'une manière remarquablement élaborée. C'est cette version pragmatiste de la défense de la religion qu'examine ici Jacques Bouveresse, en la confrontant à ses précurseurs (Renan) et surtout à ses critiques rationalistes (Russell et Freud notamment): y a-t-il de bonnes raisons de défendre la religion ? Est-il rationnel d'avoir des croyances dont nous ne pouvons pas rendre raison ? La croyance est-elle avant tout l'affaire du coeur et de la volonté ou bien la raison et l'intellect doivent-ils y avoir leur part ? Toutes les croyances religieuses sont-elles respectables du seul fait d'être crues oe
Bouveresse complète son enquête par un examen de l'idéal religieux de Wittgenstein - la religion sans prêtre ni dogme -, et par une discussion du problème de la croyance en la science à partir des pensées ironiques et soupçonneuses de Nietzsche et de Musil.
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