L’auteur congolais remporte la 6e édition du Prix avec "Le Psychanalyste de Brazzaville", publié aux éditions Les Lettres Mouchetées
Toutes les instances, tous les citoyens sont avertis de l'absurdité du mode de vie entraîné par l'économie de marché. À aucun moment il n'est question d'en changer. Le projet humain, conscient ou inconscient, se définit en peu de mots : mourir sous les richesses.
Un jardin : enclos destiné à protéger le meilleur. Meilleur des fruits et des légumes, meilleur des arbres et des fleurs, de l'art de les disposer.
L'art des jardins a exprimé son excellence à travers l'architecture et l'ornement. Ces critères ne suffisent plus. La vie qui s'y développe, parce qu'elle est menacée, devient l'argument principal des aménagements. Cette charge efface, sans les interdire, les préséances d'autrefois : manier la perspective, disposer les paysages en tableaux, composer les massifs, organiser les fêtes et les distractions. Il faut désormais s'occuper du vivant. Le considérer, le connaître. Avec lui se lier d'amitié.
Regarder pourrait bien être la plus juste façon de jardiner demain.
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