L’auteur congolais remporte la 6e édition du Prix avec "Le Psychanalyste de Brazzaville", publié aux éditions Les Lettres Mouchetées
Peu objective sur la question car pour moi Jean Racine est le maître incontesté du théâtre en vers. Des vers magnifiques et marquants qui procurent une émotion rien qu'à la lecture.
Le portrait d'un monstre naissant, encore jeune et en pleine rébellion. Néron fait passer le personnage éponyme pour un personnage secondaire presque perdu au milieu de tout cela. Britannicus avec son tempérament romantique et pacifique donne l'impression de s'être trompé de pièce et est surpassé par son frère.
J'ai un amour particulier pour cette pièce car le personnage de Néron comme monstre est en plein développement, il n'est pas ce qu'il sera chez L'Hermitte et son théâtre de la fureur. Néron poète tyran déclame des vers magnifiques, surtout lorsqu'il explique l'enlèvement de Junie et son splendide "J'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler". Le personnage de Narcisse est détestable, beaucoup d'émotions en une seule pièce! Un petit bijou de lecture et de représentation !
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