Un lien très fort unit Enzo, 12 ans, à Liouba, sa mère, encore « dans la vingtaine.
Tête de turc à l’école, il se sent exclus.
Lui et elle sont un peu paumés socialement.
Enfant solitaire, il se pose beaucoup de questions sur ses origines, et se fait beaucoup de réflexions sur le comportement des adultes.
Le style est très agréable mais traditionnel et sans fulgurance. Les personnages par contre sont très réalistes. On les prend vite en sympathie et l’envie de continuer un bout de chemin avec eux est bien là.
Véronique Olmi écrit bien et au fil de ses romans, on la retrouve avec plaisir. Cette fois, elle nous parle du lien très fort entre une mère et son fils. Beaucoup d'émotion dans le texte et des dialogues quelquefois cruels qui évoquent la fragilité de l'un et de l'autre.
Messages : 57
Le 02/08/2013 à 17h09
Tête de turc à l’école, il se sent exclus.
Lui et elle sont un peu paumés socialement.
Enfant solitaire, il se pose beaucoup de questions sur ses origines, et se fait beaucoup de réflexions sur le comportement des adultes.
Le style est très agréable mais traditionnel et sans fulgurance. Les personnages par contre sont très réalistes. On les prend vite en sympathie et l’envie de continuer un bout de chemin avec eux est bien là.
Messages : 257
Le 08/08/2013 à 17h18
Messages : 257
Le 10/08/2013 à 09h31