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Roman «Sylvie eut l'impression qu'elle allait, d'un coup de jarret, s'élever à quelques mètres au-dessus du sol. De toute la classe, c'était elle qui courait le plus vite. Cependant, nul dans la famille ne semblait prendre garde à ce talent exceptionnel. Inexplicablement, les grandes personnes, quand elles s'occupaient des enfants n'accordaient d'importance qu'à leurs études.» Dans l'immédiat après-guerre, Viou est confiée à ses grands-parents paternels. Sa mère est partie pour Paris où elle tente de reconstruire sa vie, une séparation plus difficile encore à supporter pour Viou que la mort de son père.
Un roman d'apprentissage qui dit, avec justesse et émotion, les inquiétudes, les espérances et les peines d'une enfant qui découvre le monde des adultes.
livre d'enfance. que j'ai relu plus tard loin de l'âge des socquettes blanches et des queues de cheval sages.
il y a une espèce de mélancolie inexplicable qui se dégage de ce livre. elle m'a attrapée. c'est détaillé, touchant juste ce qu'il faut, décrit avec justesse.
Une enfance un peu terne , du temps où la bonne conduite était de mise ponctuée des visites trop rares de sa maman..... Viou veut apprendre des adultes qu'elle trouve étranges
c'est juste, discret et sensible.
"Viou, de son vrai nom Sylvie, est une enfant vivant chez ses grands parents au Puy. Elle a peu connu son père mort à la deuxième guerre mondiale, et ne voit que très rarement sa mère, partie vivre à Paris pour y travailler.
elle a 8 ans, aimerait tout partager, tout connaitre, mais le monde des adultes est parfois étrange et même effrayant. Elle grandit entre ses deux grands parents qui l'aiment, mais répondent plutôt mal à ses questionnements angoissés et à ses peines. Et puis comment dire à sa maman Juliette à quel point elle lui manque ?"
Viou, premier volume d'une trilogie que j'affectionne depuis mon enfance et qu'aujourd'hui adulte, il m'arrive de relire.
C'est sans doute avec "à demain Sylvie" et "le troisième bonheur" que constituent la suite, les livres préférés
Viou c'est Sylvie, elle a huit ans et habite chez ses grands-parents. Elle a perdu son père pendant la dernière guerre et sa mère travaille à Paris. Un très joli roman, qui dépeint bien l'enfance.
[Les classes reprirent, monotones, avec leur cortège de leçons, de devoirs, de punitions, leurs disputes entre élèves et leurs conciliabules secrets dans la cour de récréation .Les heures oscillaient entre l'école et la maison. Et, à la maison, il n'y avait que de vieux visages....
Dans l'ennui des semaines, Sylvie en arrivait à attendre la visite au cimetière comme une distraction.]
Premier tome de la trilogie, Viou est le diminutif de Sylvie, l’héroïne du roman. Elle a huit ans, vit chez ses grands-parents, au Puy, a peu connu son père, mort à la guerre pendant les combats de la Libération et ne voit que rarement sa mère, Juliette, qui travaille à Paris.
C’est un roman tout en finesse, décrivant parfaitement bien à quel point le monde des adultes, leurs décisions, peuvent être difficiles à admettre pour une enfant et inversement, comment les adultes oublient bien souvent comment ils étaient enfants.
L’ayant lu alors que j’étais au collège, je me souviens avoir passé un très bon moment. A tel point que j’avais dévoré les deux tomes suivants en quelques jours !
L'histoire de cette petite fille qui grandit et vit chez ses grands-parents est troublante et émouvante, ils ont du mal à répondre aux principales questions qu'elle se pose : où sont ses parents, son père est mort au combat, il ne lui reste que sa mère avec qui elle voudrait nouer des liens....livre très émouvant..
j'aime bien
a redécouvrir
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