Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Ce livre est la deuxième livraison sur papier du site Vaisseaux brûlés (perso.wanadoo.fr/renaud camus). Il se présente sous un faux nom. Son vrai titre est («Pallaksch, Pallaksch»). Mais ce titre était déjà pris, par un recueil de nouvelles de Liliane Giraudon, paru aux mêmes éditions P.O.L.
«Pallaksch, Pallaksch» est le dernier vers du poème de Paul Celan, Tübingen, Janvier. Ce sont les mots que prononçait Hölderlin dans sa tour, à Tübingen, quand il voulait signifier à la fois oui et non. Dans le même temps il refusait qu´on l´appelle Hölderlin et demandait qu´on le nomme Killalusimeno. Lors de leur dernière entrevue, le jeudi saint de 1970, Heidegger proposa à Celan, pour l´été, un voyage en commun «sur les sites hölderliniens du haut Danube». Mais Celan se jeta dans la Seine, le 20 ou le 21 avril, du haut du pont Mirabeau.
Un Roman, si l´on veut. On y croise aussi Ungern von Sternberg, Héraclite l´Obscur, «je», W., Warhol et le chien Horla.
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