Blondel, passionné de littérature mais dépourvu de talent, découvre au hasard d'une rencontre, celle qui peut être, lui ouvrira un horizon. Une âme perdue, comme lui, qui au mépris des bonnes manières et de la morale du début des années soixante, s'obstinera dans sa quête de bonheur, en dépit des circonstances. Mais n'est-ce pas faire preuve de légèreté que de vouloir s'affranchir des vicissitudes de l'existence ? Mai soixante huit, que Blondel traversera durant cette période, apportera-t-il les réponses à cette question ? C'est en recherchant des archives pour la rédaction de mes mémoires que j'ai exhumé cet essai, écrit en 1969. Je le propose en l'état.
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