Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
« En 1997, j'avais abordé Leïla Sebbar pour lui demander de me raconter l'existence d'une petite fille dont les parents instituteurs enseignaient la langue française en Algérie coloniale et je l'avais écoutée raconter les femmes du peuple de son père l'étranger bien aimé. Et puis c'est elle qui m'a interrogée sur ce que j'appelais mon enfance africaine à Aubervilliers, bourgade populaire ouvrière de l'Île-de-France en 1960. Notre dialogue qui depuis n'a pas cessé venait de commencer. Il tourne autour de notre quête commune d'une langue où résonne celle des griots d'Afrique, des conteuses kabyles et algériennes des Hauts Plateaux et des générations d'immigrés qui se sont succédé dans la périphérie. C'est une langue traversière. » Dominique Le Boucher.
Tout au long de ces entretiens, Dominique Le Boucher plonge dans les textes de Leïla Sebbar, en saisit ce qui s'y tapit, parfois à l'insu de la romancière, et amène celle-ci à se livrer sans détours...
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