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Mouezh Anjela Duval en he barzhonegoù a zo hini ur stourmerez, unan a gare he bro dreist pep tra. « Da'm bro em eus gouestlet va buhez, » emezi en unan eus ar barzhonegoù a gaver en torkad-mañ hag alies e tro he mouezh d'ur c'han a fulor.
Estreget imor ha fuc'h a zispak en he barzhonegoù pa sav he mouezh evit difenn ar boudoù bev, an natur hag endro he yaouankiz, chomet garanet don enni er pezhioù evel Tilh, Santad bugel pe An div zervenn gozh.
Bet savet en un endro kristen he deus bepred Anjela troet he c'halon war-zu relijion divrall he zud. Un toullad eus ar rummad-mañ a gaver e dibenn al levr.
--- Traoñ-an-Dour... C'est là que Anjela Duval a vécu, travaillé, écrit. C'est de la petite ferme des bords du Leguer que sa voix s'élève. La voix d'une paysanne qui avait son pays chevillé au corps, un pays auquel elle consacra sa vie.
Ses poèmes, parfois teintés de colère en témoignent. L'humeur de la combattante s'adoucit et se fait complice lorsqu'elle retrouve son élément naturel : les arbres, les animaux, la jeunesse, les travaux des champs...
Marquée par la religion ancrée autour d'elle, Anjela perpétue cette foi familiale, simple et profonde, que l'on retrouve dans les derniers poèmes de l'ouvrage. Traoñ an Dour, un hymne à la Bretagne.
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