Plus que jamais les entreprises cherchent à accroître leurs performances économiques. Elles ont besoin d'être "réactives" avec une organisation souple, capable de répondre très vite au marché. La productivité doit intégrer la qualité, le respect des délais, satisfaire à l'exigence du client.
La recherche de nouvelles organisations du travail se développe dans tous les pays industrialisés. Notre grande concurrente, l'Allemagne, adopte progressivement une organisation post-taylorienne. Ce changement concerne tous les secteurs, du textile au pétrole, de l'automobile à l'agroalimentaire, des grandes entreprises et des petites, en production comme dans les services, en Grande-Bretagne comme en France, en Suède comme en Italie.
Les résultats sont au rendez-vous sur plusieurs points. La productivité progresse de 20 à 30 %, les délais de fabrication sont souvent divisés par cinq, et le pourcentage de rebuts d'un tiers. Le climat social change aussi, lorsque de petites équipes travaillent sur objectifs, se sentent responsables, et en mesure de prendre des initiatives à leur niveau pour rattraper les retards éventuels. L'intérêt au travail s'élève avec le niveau de compétences.
Ce livre intéresse les responsables d'entreprises (D.G., D.U., D.R.H., cadres chefs de service) pour deux raisons : il décrit très concrètement la démarche suivie par dix entreprises différentes, sur plusieurs années, ce qui permet de mesurer des résultats sur la durée et il définit la marche à suivre pour réussir un changement.
Cette nouvelle édition, enrichie de plusieurs chapitres constitue la meilleure introduction au monde post-taylorien.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron
