Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Écrire au plus près de soi, dans un souci d'attention au monde.
Interroger notre quotidien le plus banal. Creuser dans la mémoire et ses failles. Apprivoiser deuils et blessures. C'est l'objectif que s'est donné Françoise Ascal en travaillant " la note de journal " dès ses premières publications. La Table de veille, après Cendres vives et Le Carré du ciel, est le troisième volet d'un chantier d'écriture toujours en mouvement. Il s'agit bien, à travers les questions posées par la langue elle-même, de se confronter au " métier de vivre ", selon les mots de Pavèse.
Tenu de 1996 à 2001, ce nouveau carnet de bord chemine entre un village de la Brie et la ville de Nantes. Il s'organise en trois temps liés à la mort de la mère, événement constituant ici le coeur du texte. Si ces pages explorent nos fragilités intime, le vieillissement et la perte, elles sont tout autant - au-delà du " travail de deuil " imparti à chacun - une célébration de la vie et de ses éblouissements.
Manière de " résister ", si peu que ce soit, par ces temps de désastre.
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