Soeur Angélique de la Miséricorde divine, alias Loulou Berthet, pique les fesses des malades et fouette le derrière des puissants...
SES YEUX SE PLANTERENT dans les miens. Je posai mes mains sur ses épaules et le fis asseoir sur une chaise.
- Tu es beau, Julien, et jeune, aussi.
- Vous êtes belle, soeur Angélique, pardon !
- Appelle-moi Loulou, ce sera un secret entre nous.
Le Meursault me donnait une audace licencieuse. Durant l´échange, ma main droite brouillait déjà sa braguette, un fard incandescent envahissait ses joues imberbes. Il respirait court, levant les yeux au ciel.
Ce mécréant de Max Obione trousse à merveille ce feuilleton épicé sur fond historique. Soeur Angélique et son acolyte soeur Véronique font une paire de religieuses mémorables. On fouette et on abrège la misère du monde lorsque c´est nécessaire et par charité chrétienne bien comprise. De surcroît, la fin de ce troisième épisode apporte une véritable révélation : une énigme de l´histoire de l´art est enfin élucidée.
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