Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Le très médiatique évêque Onésime Goyat a été retrouvé assassiné, au garrot, sur une place publique de la bonne ville bretonne de Guerlesquin.
Voyez d'ici le tintouin dans le canton. L'enquête est confiée à Jules Bellec, adjudant de gendarmerie et socialiste, qui se fera aider par sa maîtresse, Maryvonne Le Brinsec, institutrice gaulliste qui marche au chouchenn. Et là, on croise des indépendantistes bretons, un curé façon intégriste, un corbeau, un vagabond qui publie, des piliers de pub et quelques farceurs. Qui est donc le coupable ? L'auteur le sait-il lui-même ? Ce roman n'est pas un roman à clefs mais pour le moins à trousseau.
On y retrouve le ton et les humours du Pouchèle de l'Etoile et le Vagabond ou de Deux Vagabonds en Irlande. Parfois noir, parfois tendre, toujours décalé, le tout pimenté d'une bonne dose d'impertinence - voire d'inconscience - voilà le ton de Samedi, l'évêque a raté le bus...
Un polar plein d'humour.
L'adjudant Belloc se voit ,par défaut,confier l'enquête sur le meurtre d'un évêque survenu à Guerlesquin,petite commune bretonne.A quelques mois de la retraite alors qu'il était placardisé pour ses opinions politiques ,Belloc reprend du service pour retrouver le coupable.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron