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Première tentative pour opposer systématiquement le sublime au beau avant la troisième critique kantienne, la recherche philosophique sur l'origine de nos idées du sublime et du beau (1757) différencie deux types de plaisir et deux types de douleur, pour confronter, dans une perspective qui préfigure le dualisme freudien, deux types de passion.
Sur ces fondements, se constituent une psychophysiologie qui oppose diamétralement deux types de relation à autrui et au monde sensible, et une poétique de l'énergie, selon laquelle les mots nous affectent davantage que les choses qu'ils représentent. parmi les pièces maîtresses de ce livre, on notera la théorie de la terreur comme " principe qui gouverne le sublime " mais ne le produit pas, la définition de l'idée claire comme " petite idée ", la théorie de l'art comme tromperie raisonnée - productrice d' " infini artificiel " -, l'apologie d'une douceur dont les effets ne devront pas être négligés dans l'ordre politique, l'analyse des effets mécaniques de l'obscurité et de la variation continue, et la critique très novatrice de la théorie de l'imitation, étayée sur la thèse présaussurienne d'une indépendance de la représentation à l'égard du représenté.
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