Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
« Ce que les Occitans entendent dans la poésie d'Okoundji, c'est tout simplement la force et le souffle d'une langue qui monte du plus profond d'une terre, d'un peuple, et qui, au terme d'un parcours millénaire, aboutit à cette profération essentielle à hauteur d'univers... Y a-t-il, aujourd'hui, beaucoup de poésies plus universelles que celle-ci, issue de la terre de Mpana, au Congo, - celle d'un poète qui, au rythme du coeur ancestral, avance «dans les dimensions du monde ?" J-P. Tardiu Avec pour bannière les mots de la conteuse Ampili mêlés de ceux du vieux sage Mpampou, le poète chemine au fil de ses publications, dans une profonde voie où la parole devenue lanterne, féconde la lumière qui aide à la traversée des sentiers de l'existence et ce faisant, vivifie l'esprit de tout mortel qui l'entend. En effet, nous dit Gabriel Mwènè Okoundji, c'est par la parole poétique, inspirée ou initiée, que pénètre la lucidité dans l'âme humaine. Dans la démarche singulière de l'auteur, il est question d'une poésie d'initiation héritée de sa lointaine terre natale et qui consiste à observer une parole dans ce qu'elle révèle de souffle, entre le signe et le symbole, entre le chant et le pleur, entre le conte et la légende, c'est-à-dire, entre la métaphore et l'énigme, en d'autres termes, entre l'aube et le crépuscule.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron