Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Bonnie Parker et Clyde Barrow sont sans aucun doute les criminels américains les plus célèbres du XXe siècle. Déjà de leur vivant, les deux amants avaient su passionner la presse par leurs exploits meurtriers. Sans foi ni loi, ils étaient jeunes et beaux, et leur mise à mort sans pitié par la police fédérale, lors d'une embuscade, n'a fait que précipiter leur destin tragique : la légende Bonnie & Clyde était née. Ce que l'on sait moins, c'est que Bonnie Parker était également une femme passionnée par la littérature. Bonne élève, elle avait reçu de nombreux prix en orthographe et en écriture durant sa scolarité : la jeune Bonnie avait un réel talent pour la rédaction de poésie. Les quatre poèmes présentés ci-après, attribués à Bonnie Parker, ont été composés entre 1930 et 1934, alors qu'elle forme avec Clyde, le gang Barrow. Ils ont été écrits, soit en cavale, soit en prison, comme The Story of « Suicide Sal » que Bonnie a rédigé en 1932, à la prison de la ville de Kaufman (Texas). Dans ses poèmes, Bonnie Parker évoque avec une certaine lucidité la dure vie qui s'offre à ceux qui ont choisi de vivre hors la loi : la cavale, la prison, la solitude, et la mort tout autour qui rôde sans cesse. Mais dans cette dure vie, qu'elle nous décrit sans chichi, une lueur d'espoir s'esquisse entre chaque vers : son amour fou pour son homme, le beau et ténébreux Clyde, dépeint sous les traits d'un gangster au grand coeur, dans la lignée de Billy the Kid ou Jesse James. © Mazeto Square.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron