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«Ces Poèmes en eau froide avec saisissement des chairs ont surgi entre 1990 et 1999. Comme on écarte par le poing ce qui objecte à ce qui s'impose. S'il avait fallu composer un tel recueil, le mensonge y aurait travaillé ; avec la composition, on a écarté l'imposture. Les pages se succèdent ici selon un ordre auquel le hasard a donné ses fossettes. Un autre vaudra mieux et moins. Chaque poème est un livre, pourvu qu'il vaille. Le lecteur a donc entre les mains une espèce de bibliothèque. Qu'il la range comme il voudra, nous n'irons pas y voir. La poésie, debout sur ses pinacles, règne. S'affronte à des feux qui la cuisent et qu'elle brûle. Elle est ce qui reste quand tout croit demeurer. Elle daigne peu. Si elle octroie, elle refuse davantage. Son empire est absolu pour ceux qui reconnaissent l'excellence de sa loi et sa parfaite raison. Qui se soumettent à la puissance sans recours. Ceux-là, avec celle qui sait, apprennent. Ils sont en travail comme une femme et l'on ferme la porte.» Pierre Lafargue.
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