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Personne ne court plus vite qu'une balle

Couverture du livre « Personne ne court plus vite qu'une balle » de Michel Embareck aux éditions Archipel
  • Date de parution :
  • Editeur : Archipel
  • EAN : 9782809817386
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Pourquoi Flaco Moreno, chanteur français connu pour ses tubes à consonance hispanique et des prises de position altermondialistes, s'est-il suicidé à La Nouvelle-Orléans, où il était venu enregistrer son nouveau disque ?
Les parents du défunt, persuadés que leur fils au bonnet péruvien... Voir plus

Pourquoi Flaco Moreno, chanteur français connu pour ses tubes à consonance hispanique et des prises de position altermondialistes, s'est-il suicidé à La Nouvelle-Orléans, où il était venu enregistrer son nouveau disque ?
Les parents du défunt, persuadés que leur fils au bonnet péruvien totémique a été assassiné, chargent Victor Boudreaux, le privé migraineux aux méthodes expéditives, d'éclaircir le mystère.
Une enquête qui le conduira dans les bayous de Louisiane, puis dans la jungle du Vietnam avant de le ramener à Saproville-sur-Mer, la ville de toutes les corruptions.
Un roman policier et d'aventures musclé, picaresque et immoral. Le commerce équitable y croise le trafic de pierres précieuses, une géniale combine de blanchiment d'argent et des marchés publics véreux.

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Avis (1)

  • Dans le dernier roman de Michel Embareck chez l'Archipel, Personne ne court plus vite qu'une balle, le rythme est haletant à la fois dans l'écriture et dans l'histoire, comme des tirs de mitraillette.
    Entre Nouvelle-Orléans juste après Katarina, le Vietnam et la France, le lecteur est...
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    Dans le dernier roman de Michel Embareck chez l'Archipel, Personne ne court plus vite qu'une balle, le rythme est haletant à la fois dans l'écriture et dans l'histoire, comme des tirs de mitraillette.
    Entre Nouvelle-Orléans juste après Katarina, le Vietnam et la France, le lecteur est embarqué, bousculé dans cette aventure émaillée de référence à la musique et au cinéma. Comme le disent certains c'est un condensé d'Embareck. On y retrouve toutes les obsessions de l'auteur sur les magouilles du pouvoir et de la finance mais aussi le sport. On sourit et on applaudit aux répliques comme
    « _ Je, je ne peux rien dire, bafouilla le gars, sentant le baromètre de la diplomatie plonger vers « avis de gros temps ». Ou encore.
    « Le colonel souriait. Le chauffeur souriait. Victor souriait. Earl souriait. Les troufions souriaient. Ce qui ne valait pas une échalote bouillie sur l'échelle du sourire »
    « A l'époque déjà, le monde tournait à la façon d'un moulin à foutaises. Désormais ses ailes tourbillonnaient à la vitesse d'un ventilateur, sous le vent des réseaux sociaux. »
    Dans ce roman même une description peut vous entraîner dans un tourbillon qui se révèle être très poétique finalement.

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