Un mari apparemment charmant. Un fils adorable. Une maison ravissante. Emily Coleman est une femme comblée. Pourtant, un beau matin, elle prend le train pour Londres, bien décidée à tout laisser derrière elle. C'est désormais sous l'identité de Catherine Brown qu'elle partage un appartement miteux avec des colocataires et occupe un travail sans avenir.
Elle n'aspire désormais qu'à une seconde chance. Mais qu'est-ce qui a pu la pousser à abandonner une vie qui semblait si parfaite ? Quel est ce secret qu'elle protège avec tant de force ?
" Ce thriller psychologique haletant est la découverte d'un nouveau talent. " Madame Figaro " Un page-turner brillamment écrit que vous ne lâcherez pas, avec la promesse de nuits blanches ou de stations de métro manquées. " Metronews
Pourquoi Emily décide sur un coup de tête de remplir un sac de voyage, de vider son compte bancaire et de partir vivre loin de Ben et de Charlie.
Elle ne reconnait pas le Ben pour lequel elle a eu le coup de foudre, elle le trouve lointain , moins aimant.
C'est sous une autre identité qu'elle trouve un travail de réceptionniste - rien à voir avec son ancien job puisqu'elle était juriste - un logement en sous-location alors qu'elle habitait une superbe maison bourgeoise.
Mais elle veut se donner une seconde chance , oublier Ben, Charlie, sa soeur jumelle exécrable, sa mère, son père volage ...........
Il suffit d'une soirée pas comme les autres pour qu'elle fasse la une des journaux et que sa famille la retrouve .... Pourra t-elle encore cacher le secret qui la ronge ?
Quelle fin !!!!! un roman magnifique qui m'a enchantée et que je conseille.
Vraiment des bon livre a decouvrir encore un autre tres bien sujet très intéressant et je trouve passionnant et le courage de tout quitter il faut pouvoir arriver à le faire et continuer c est le plus dur bravo à l auteur il m'a beaucoup plu c est pour sa que je l ai acheter
Les auteurs britanniques sont décidément les rois du suspens psychologique .
Et ce n'est certainement pas la qualité de « Partir » de Tina Seskis qui me démentira .
On y découvre Emily Coleman , juriste , qui décide de quitter un beau jour sa maison d'un quartier coquet de Manchester , son mari Ben et ..Charlie .
Elle décide de partir à l'autre bout de l'Angleterre . Fini la Province . Bienvenue à Londres ou elle a décidé de refaire sa vie sous un nouveau nom , Catherine Brown , gardant pour elle le secret de son existence passée .
Exit ses parents , sa soeur jumelle Caroline , au caractère « un peu » particulier et découverte de nouveaux amis comme sa colocataire , Angel qui va aider Catherine à redémarrer d'un bon pied sa nouvelle vie .
Pourquoi cette fuite désespérée ? C'est que vous allez progressivement comprendre en découvrant toute l'histoire d'Emily d'avant . Mais il vous faudra pour cela être patient et attendre une quarantaine de pages avant le terme du récit .
Et ça ce termine bien ? Ah et bien les toutes dernières pages vous donneront la réponse ..
Soyez sans crainte les 400 premières passent à une vitesse vertigineuse tant vous être pris par le récit .
Mais dans les deux cas attendez vous par contre à de sacrées surprises , car l'écrivaine a plus d'un tour dans son sac pour semer quelques fausses pistes et tisser quelques fausses idées dans votre esprit crédule …
Je vous rassure je me suis aussi fait avoir .
Un excellent roman noir que vous ne lâcherez pas de si tôt !
Difficile pour moi de rentrer dans l'histoire dans un premier temps : différents narrateurs, différents moments de narration. L'accroche est venu à plus d'un tiers du livre. Au final Un bon thriller avec le dénouement sur les derniers pages.
L'histoire démarrait bien. L'intrigue était bien là, mais tout à coup, ça s'essouffle. Il se passe un tas de choses plutôt improbables et c'est bien dommage.
J'ai tout de même été intriguée et curieuse de connaître le dénouement. La fin m'a tout de même agréablement surprise.
Il manque juste un petit quelque chose...Y a t-il une erreur sur la jaquette ou les commentaires ? Thriller ? Vraiment ? quoi qui ?
La structure du roman est efficace, rythmée, courte, et maintient le lecteur dans l'attente de la réponse : Pourquoi ? Parfois un peu trop mélo, un peu trop "téléphoné", un peu too much.
Mais ce premier roman annonce de sympathiques prochains livres.
Un matin, Emily, plutôt bobo, qui semblerait avoir tout pour être heureuse, décide de tout quitter pour changer de vie.
Elle quitte Manchester pour Londres, où elle trouvera à se loger en colocation dans une maison limite taudis en tant que Catherine. Mais elle y fera la connaissance d' Angel qui va la dévergonder et lui permettre ainsi de puiser des ressources au fond d'elle même, lui permettant ainsi de trouver un job.
C'est à coup de flash back que l'auteur tisse la vie de cette femme pour nous permettre de comprendre les raisons de sa fuite.
Je m'attendais à quelque chose plus fouillé avec un rythme plus soutenu et une légère oppression comme dans tout thriller ; là grosse déception c'est mièvre, évident et sans consistance.
Pour moi il relève plus du feel good que du thriller !
J’aimais beaucoup l’idée de départ, celle de la disparition volontaire, de cette femme qui quitte tout un beau matin, qui prends sa valise, son fric, prends un train pour Londres, change de nom et recommence une nouvelle vie à partir de zéro, en ayant tiré un trait sur son passé. C’est un phénomène plus répandu qu’on ne l’imagine et assez fascinant, ne serait-ce que parce qu’on a tous été tenté, un jour, de le faire. Le roman de Tina Seskis part donc d’une idée forte et les premiers chapitres sont prometteurs. On peut être un peu rebuté quand même par la construction chronologiquement éclatée de son récit : retour en arrière, bond en avant, re-retour en arrière. On est même un peu désemparé aussi de la voir faire des digressions dont on ne comprend pas l’intérêt sur le moment (ni même une fois le livre terminé, ce qui est encore pire) : l’enfance d’un personnage secondaire, les aventures extra-conjugales (navrantes) d’un père à la dérive, tout cela n’apporte pas grand-chose au récit d’Emily (qui se fait désormais appeler Cat). Mais bon, si on ferme les yeux sur ces chapitres un peu décalés, heureusement assez rares et assez courts, reste l’histoire de la seconde vie qui démarre à partir de rien : une colocation dans une villa miteuse de Londres, un job de réceptionniste, etc… Le souci du livre de Seskis, c’est qu’à partir du milieu du roman, on y croit déjà beaucoup moins : en moins de 6 mois, Cat se retrouve à un poste de responsabilité, a emménagé dans une belle maison, se fringue avec des vêtements de marque… et prends de la cocaïne pour tenir le coup ! A partir de là, le récit part un peu en sucette, jusqu’à frôler le n’importe quoi (le chapitre avec le footballeur). A partir de là, on se demande si l’auteure savait comment terminer son histoire ! Bien-sur, elle avait en réserve un coup de théâtre qu’elle gardait au chaud depuis le début et qui m’a évidemment surprise (c’est le but en même temps) mais il faudrait presque relire le roman pour s’assurer que cette révélation est cohérente avec le récit. C’est un gros rebondissement, et on sent bien que c’est là que Seskis voulait en venir et pas ailleurs, finalement son histoire de disparition volontaire n’était qu’un prétexte à mettre en scène de coup de théâtre. La toute fin est aussi un peu bizarre : happy end ou pas, le roman cherche sa voie et quand il la trouve, c’est en partie trop tard, on ne se sent plus tellement en empathie avec cette femme. En résumé, « Partir » est un premier roman plein de petits défauts, qui ne parvient pas à exploiter dignement sa bonne idée de départ. Mais c’est un premier roman, il faut être un peu indulgent et le style agréable de l’auteure est quand même prometteur. Peut-être sont second roman sera plus aboutit et cohérent tout en restant agréable à lire ?
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