Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Jean Palomba écrit dans ce recueil pour nos yeux et nos oreilles trois poésies : "parcs & Parques" suivi de "Muihr, faire part de texture" et de "Dictionnaire non réaliste". Au lecteur il dit, Avant d'écrire, je me disais enfin non je ne me disais rien. J'avais : les mots chute, lèvres et feuilles ; le souvenir de pensées dans une hutte toute pleine de sensations végétales, et cette image lointaine comme une respiration de femme au verger sous la lune d'agrume ; aussi Livia, son rire de pomme acidulée. Tout ça n'était pas qu'érotique, il y avait cette idée de variations autour d'une Parque, une qui file.
Enfin, avant d'entrer, et pour faire court, il faudrait t'imaginer dormant, rêvant et tes paupières frémissent. Tu traverses les parcs que tu as au fond, et qu'au fond tu as toujours voulu parcourir... sur un pied, (parfois tu trembles), sur deux, sur les mains, sur la cime des arbres. Le parc, tu le serres entre tes bras car dedans, il y a la vie, toute la vie possible. Presque toute. Pourquoi? Parce que...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Faites votre choix parmi les 20 romans en lice !
Tentez vite votre chance pour gagner l'une des 15 bandes dessinées sélectionnées par le jury
Une interview des auteurs, un défi écriture et des livres à gagner !