Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Quand les travaux graves me plient les reins, je fais des olorimes, qui m'apportent le vrai repos. En eux, s'immobilise le verbe, et la pensée semble battre encore. En eux, je retombe gaîment sur mes pieds.
Malheureusement, ça fatigue les autres.
Comme tous les vers qu'on respecte, il faut lire les olorimes entre les lignes, et ne pas craindre les sens à étages, ni les vibrations marginales.
Je vous donne des olorimes troubles comme le regard de certaines bêtes en cage. Je vous donne des olorimes clairs comme l'eau des lacs. Vue d'un oeil sec, bien sûr ! Car, si j'honore Lamartine, je fuis toute rive neurasthénique :
Lacs rimatoires, Lacrymatoires !
J'oublie mon romantisme au débarcadère :
Ces lacs avaient quais : mille !
Joli diorama !
C'est là qu'avec Émile Jo l'idiot rama.
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