Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Dans On ne leur dit jamais au revoir (Presses du Châtelet, 2007), son premier ouvrage, Allison DuBois expliquait comment ses dons de médium lui étaient apparus, comment elle avait ensuite développé ses facultés paranormales et comment elle avait décidé de les mettre au service de la police pour résoudre des affaires criminelles restées irrésolues. En effet, Allison voit, entend, parle avec les morts et transmet aux vivants leurs messages de soutien et de réconfort.
Avant même d'avoir terminé la rédaction de On ne leur dit jamais au revoir, Allison songeait à son deuxième livre. Elle en avait déjà trouvé le titre et savait de quoi il traiterait : du paradis. Nombre de personnes qu'elle a reçues en consultation lui posent en effet des questions similaires, auxquelles elle a choisi de répondre de manière claire, dont celle-ci en particulier : pourquoi les défunts restent-ils à nos côtés ? La réponse est simple : nous sommes leur bonheur, nous sommes leur véritable paradis. Ils souhaitent assister à nos joies quotidiennes ou nous soutenir dans l'épreuve.
Accidents, meurtres, suicides ou maladies... Au fil des différents chapitres de cet ouvrage, Allison DuBois évoque les cas de personnes qui ont perdu un être cher de manière dramatique et la façon dont elle a réussi à leur venir en aide en interprétant les signes lancés de l'au-delà. En évoquant ces cas et en laissant la parole aux clients qu'elle a reçus en consultation, elle offre au lecteur des exemples qui pourront les aider à surmonter un deuil.
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