Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Ce roman se présente comme une pseudo-conférence sur la réinsertion socilae, prononcée par un ancien détenu nommé Madère. Mais une voix s'empare de lui, défiant «l'état civil, la police et les moeurs», voix qui se fait appeler Movi Sévaze et se met à vomir sa haine des prisons invisibles. «J'ai écrit ce roman d'une conférence sur la réinsertion sociale en 54 jours, ce qui en fait un de trop. Plus exactement, il s'est écoulé 54 jours entre l'instant où le nom de Movi Sévaze s'est imposé à moi et celui où j'ai remis mon manuscrit. Je l'ai écrit dans une période de grande violence, avec le sentiment prégnant d'avoir la mort aux trousses (la mort sociale, s'entend), obsédé par la citation de Felisberto Hernandez que j'ai placée en exergue, et qui dit qu'écrire, c'est faire un effort pour jeter ses phrases vers le futur et les maintenir en l'air pendant que la mort passe sur la terre». Bertrand Leclair.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Faites votre choix parmi les 20 romans en lice !
Tentez vite votre chance pour gagner l'une des 15 bandes dessinées sélectionnées par le jury
Une interview des auteurs, un défi écriture et des livres à gagner !