Franco-allemande, Oriane Jeancourt Galignani est critique littéraire. Mourir est un art, comme tout le reste est son premier roman qui évoque Sylvia Plath, poétesse et icône féministe des années 60.
Le 11 février prochain, on commémorera les cinquante ans de la mort de la poétesse Sylvia Plath, suicidée à 31 ans. Oriane Jeancourt Galignani, en s'inspirant du roman autobiographique de l'écrivain, La Cloche de détresse, et de ses poésies les plus personnelles, imagine le récit, à la première personne, de sa dernière année.
En entrelaçant son récit d'extraits de Plath, l'auteur nous donne à découvrir ses vers, mais encore son style, le récit imaginaire apportant à l'oeuvre une perspective extrêmement juste et éclairante.
De grands thèmes se retrouvent ici : la difficulté d'être reconnue à la juste mesure de son génie lorsqu'on est une femme ; les tiraillements d'une épouse et d'une mère qui veut être aussi un écrivain de renom ; la compétition avec le père, et avec le mari ; la douleur d'aimer un père que l'Histoire et ses choix condamnent comme sympathisant nazi ; les ravages de la maladie mentale, le rapport avec sa propre sexualité, avec son corps et les maternités, avec ses enfants et la vie...
Franco-allemande, Oriane Jeancourt Galignani est critique littéraire. Mourir est un art, comme tout le reste est son premier roman qui évoque Sylvia Plath, poétesse et icône féministe des années 60.
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