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Monsieur est mort

Couverture du livre « Monsieur est mort » de Karine Silla aux éditions Plon
  • Date de parution :
  • Editeur : Plon
  • EAN : 9782259227469
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Quand survient la mort du père, est-ce le temps de la fin des secrets et du pardon ? Ou bien celui de la culpabilité ?

A la mort de son père, Vincent quitte l'Inde ou il vit depuis quinze ans pour revenir à Paris. Telle une bombe à retardement, cette disparition fait resurgir du passé des... Voir plus

Quand survient la mort du père, est-ce le temps de la fin des secrets et du pardon ? Ou bien celui de la culpabilité ?

A la mort de son père, Vincent quitte l'Inde ou il vit depuis quinze ans pour revenir à Paris. Telle une bombe à retardement, cette disparition fait resurgir du passé des traumatismes enfouis.
Ce retour sera-t-il le déclencheur pour que se brisent enfin les tabous, que soient dévoilés les secrets et les non-dits familiaux ?
Un roman sur la culpabilité, le pardon et le pouvoir de destruction du silence.

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Avis (8)

  • On ne peut pas dire que je me suis attachée aux personnages. En revanche il n'y en a qui m'ont insupporté.
    Une famille riche matériellement mais qui n'a jamais su donner de la tendresse ou de l'amour. Le silence et les non-dits ont jalonné l'enfance des garçons, Gabriel et Vincent. Peut-être...
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    On ne peut pas dire que je me suis attachée aux personnages. En revanche il n'y en a qui m'ont insupporté.
    Une famille riche matériellement mais qui n'a jamais su donner de la tendresse ou de l'amour. Le silence et les non-dits ont jalonné l'enfance des garçons, Gabriel et Vincent. Peut-être que cela a continué après le départ du cadet. Sans doute, à la vue du parcours des deux jeunes.
    Les sentiments sont presque un personnage. Ils sont très bien narrés et l'écriture vraie nous les rendent palpables.
    Très vite on suppose le secret qui a empêché Vincent de vivre heureux et l'a obligé de s'éloigner de sa famille. Mais le lecteur veut savoir si le pardon peut être possible. Le point final ne donne pas toutes les réponses que j'attendais.

    Lecture numérique / Ma chronique complète https://vie-quotidienne-de-flaure.blogspot.fr/2018/03/Monsieur-est-mort-Karine-SILLA.html

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  • Depuis 15 ans, il s’est exilé à Calcutta, il vit seul. Sa mère l’appelle de temps en temps pour les fêtes, il n’est jamais retourné dans sa famille. En Inde, la vie lui est plus douce, loin de l’emprise paternelle malsaine, de l’aisance matérielle démesurée opposée à la grande misère...
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    Depuis 15 ans, il s’est exilé à Calcutta, il vit seul. Sa mère l’appelle de temps en temps pour les fêtes, il n’est jamais retourné dans sa famille. En Inde, la vie lui est plus douce, loin de l’emprise paternelle malsaine, de l’aisance matérielle démesurée opposée à la grande misère affective.

    Lorsque sa mère lui annonce le décès de son père, Vincent se trouve dans sa petite maison au bord du Gange. Dans sa pensée, il juxtapose l’instant aux rites funéraires de l’Inde.
    « Devant moi, à travers les fenêtres ouvertes, je voyais voler, au-dessus du Gange, les cendres d’un reste de crémation ». Sans plus s’apprêter, tant moralement que physiquement, il décide de rejoindre sa famille. « Elle ne m’avait pas dit grand-chose, seulement quelques mots, et j’avais suivi, sans réfléchir, tel un automate, la douceur de cette voix maternelle, inconnue jusqu’alors. Son éco avait frappé mon cœur par surprise et je n’avais pas pu y résister ».

    Là commence le long chemin de mémoire, ses souvenirs avec Gabriel, le frère qu’il adorait mais qui n’est plus, ses deux autres frères qu’il a si peu connu, ses ressentiments vis-à-vis de son père et son impossible pardon ? ... des remises en cause personnelles « j’avais la réputation d’être un enfant colérique et tout le monde faisait attention de ne pas me contrarier » …

    Karine Silla décrit avec précision et délicatesse les phases d’adaptation que traverse Vincent avant de franchir le seuil de la grande maison sans âme où il va peut peut-être oser revenir, là où repose son père. A ses abords, il recherche des traces de ce jour où son frère et lui avaient inscrit à jamais leur fraternité. « Je grattai avec frénésie la roche couverte de mousse et découvris le cœur battant et serré, ce que je cherchais. Elle était là, sous mes yeux, avec ses fautes d’orthographe : « Gabriel et Vincent frairs pour la vi.»
    Enfin, la rencontre que le narrateur appréhende, et que lecteur attend, a lieu. Et si un peu de longueur a pu s’installer dans la lecture, le drame qui se joue assène l’ambiance de plomb qui s’annonçait et qui fait le contexte principal de ce roman.
    C’est un roman sombre, dans lequel la psychologie des personnages est parfaitement exprimée. Certes, les sentiments et les réactions de Vincent sont tout particulièrement détaillés, mais le portrait de chaque personnage permet de s’imaginer le malaise qui règne dans la famille, y compris dans le comportement du vieux majordome.
    Et grâce au talent de Karine Silla, dans cette extrême pauvreté des sentiments, au fond des secrets et des chagrins enfouis, cherche à poindre la chaleur de l’amour familial qu’à chaque page on se prend à espérer.
    C’est sous cette même belle écriture que l’auteure a écrit son second roman « Sous le soleil » avec, à mon humble avis, encore plus d’émotion.

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  • « Ton père est mort il y a deux jours», ces quatre mots Vincent les reçoit dans la chaleur de Calcutta, son refuge du bout du monde.
    Parti quinze ans plus tôt de la maison familiale, Vincent croit déceler dans le coup de téléphone maternel un appel au secours. Les milliers de kilomètres de...
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    « Ton père est mort il y a deux jours», ces quatre mots Vincent les reçoit dans la chaleur de Calcutta, son refuge du bout du monde.
    Parti quinze ans plus tôt de la maison familiale, Vincent croit déceler dans le coup de téléphone maternel un appel au secours. Les milliers de kilomètres de distance, les années écoulées n’ont plus d’importance. Vincent décide de rentrer à Paris. Il sait que le retour sera difficile, le temps du voyage est propice à la réflexion, les souvenirs affluent, douloureux, insupportables. Le suicide de son frère ainé, l’indifférence et la cruauté du père qui obligeait ses enfants à l’appeler « Monsieur » et ne vivait que pour sa collection de tableaux ont fait de Vincent un être révolté cherchant l’apaisement dans les paradis artificiels, jusqu’au départ définitif.
    Par petites touches, Karine Silla nous fait découvrir cette famille, le père ignoble dans ses certitudes, la mère froide et indifférente qui ne supporte pas que ses enfants la touchent, et les quatre frères qui essaient désespérément de trouver une place dans cet appartement où tout est trop vaste, sauf l’amour.
    « Vivre dans un espace trop grand empêche d’aimer. »
    Karine Silla nous propose une histoire cruelle et douloureuse sur la culpabilité, le pardon et le deuil.
    J’ai été bouleversée, happée, dès la première phrase par l’ambiance lourde et pesante de ce magnifique roman.
    Un coup de cœur.

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  • Vincent a fui Paris et, surtout, sa famille pour L’inde. La mort de son géniteur l’oblige à revenir en France. C’est ce voyage de retour que Karine Silla nous raconte.
    Oui, Monsieur est mort. Je subodore quelques lourds secrets de famille. Je comprends sa peur, ses angoisses. L’écriture se...
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    Vincent a fui Paris et, surtout, sa famille pour L’inde. La mort de son géniteur l’oblige à revenir en France. C’est ce voyage de retour que Karine Silla nous raconte.
    Oui, Monsieur est mort. Je subodore quelques lourds secrets de famille. Je comprends sa peur, ses angoisses. L’écriture se fait lente, lourde. La solitude est pesante tout comme le passé qui remonte à la surface.
    Le voici devant le porche de la maison bourgeoise. Impossible d’entrer. Impossible d’ouvrir cette satanée porte comme s’il avait peur d’ouvrir les portes de sa mémoire. Par petites touches, j’apprends à connaître cette famille de grands bourgeois. Le père se fait appeler « Monsieur » par ses enfants « Cela ne me dérangeait pas, je trouvais même cela assez représentatif de nos rapports. ». Oisif, il n’a jamais travaillé, il collectionne les œuvres d’art et autres déviances que je ne dévoilerai pas. Il ne veut pas que ses propres enfants travaillent. « Mon père nous l’avait dit clairement, il tolérait que nous allions à l’école pour nous cultiver, mais il ne voulait pas que ses fils travaillent. » La mère, étrange beauté froide, ne supporte pas que ses propres enfants l’approchent, déguise ses enfants en fille et joue Bach. « J’ai espéré longtemps qu’elle me prenne dans ses bras, contre sa poitrine… A présent, je n’aurais supporté qu’elle me touche. ». Il y a le frère aîné, Gabriel que Vincent aime tant. Ce garçon a supporté en silence les vilénies (le mot est faible) de son père, protégé ses frères, mais n’a pu supporter la découverte de Vincent. Oui, une famille « bien-sous-tout-rapport » que le père a détruite corps et âmes, dont il ne reste que des « zombies » essayant de survivre.

    Ce livre, très scénarisé n’a rien de plombant. Karine Silla oppose la richesse de la famille et la misère affective. Les mots sont justes, pas de fioritures inutiles. Comme dans un film, les flash-back entrouvrent les portes de cette famille très bourgeoise et Vincent les ouvrira jusqu’à l’Ultime porte, celle où repose le corps de Monsieur.
    Un très bon premier roman qui ne se laisse pas oublier facilement.

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  • Vincent, le narrateur, vit depuis 15 ans en Inde, dans un quotidien relativement stabilisé pour un ancien toxicomane à l’héroïne et aux drogues fortes, loin des siens, manifestement loin d’une famille, d’une enfance et de secrets trop lourds à porter.
    Monsieur, c’est le père de Vincent, mais...
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    Vincent, le narrateur, vit depuis 15 ans en Inde, dans un quotidien relativement stabilisé pour un ancien toxicomane à l’héroïne et aux drogues fortes, loin des siens, manifestement loin d’une famille, d’une enfance et de secrets trop lourds à porter.
    Monsieur, c’est le père de Vincent, mais Monsieur est mort. Alors Vincent retourne à Paris. Là, nous découvrons une famille prospère, un père rentier qui se fait appeler monsieur, une mère au foyer qui rêvait d’avoir des filles, quatre fils plutôt étranges, un frère disparu. Le passé est lourd de non-dits, de secrets, de mots d’amour jamais prononcés, de gestes tendres jamais donnés ou seulement à peine ébauchés, d’attentes et de pardon. C’est lent, oppressant parfois, on a envie de fuir comme l’a fait Vincent pendant 15 ans, mais en même temps on attend avec lui. Qui sait, la mort du patriarche pourrait rapprocher les membres épars de cette famille. C’est un livre lourd mais qui se laisse lire, on ne sait pas trop où l’auteur nous entraine mais on a malgré tout envie de le suivre.

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  • RVpage 100 : Vincent qui s'est exilé en Inde revient à Paris pour la mort de son père. Ce retour ramène à la surface toutes les douleurs de sa jeunesse.....L'histoire est passionnante car bien construite. Elle sait nous donner l'envie d'aller plus loin, de ne plus lâcher le livre.L'écriture est...
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    RVpage 100 : Vincent qui s'est exilé en Inde revient à Paris pour la mort de son père. Ce retour ramène à la surface toutes les douleurs de sa jeunesse.....L'histoire est passionnante car bien construite. Elle sait nous donner l'envie d'aller plus loin, de ne plus lâcher le livre.L'écriture est magnifique, les sentiments et la psychologie des personnages sont superbement décrits ".....mais la mort n'est rien que le néant.....c'est juste un long silence dévastateur semblable à celui qui clôt une mélodie en nous déchirant l'âme...." ce livre est superbe, je l'adore.

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    • FIZ le 25/08/2014 à 16h39

      Vincent revient à Paris rappelé de son exil pour la mort de son père. 15 années en Inde l’ont séparé de cette famille et du malaise nauséeux qu’elle génère.
      Dès les premières pages du roman on sent que le passé de Vincent est lourd, que ses relations familiales lorsqu’elles existaient, étaient conflictuelles, douloureuses.
      On avance dans ce roman, comme dans un thriller, découvrant au fil de pages les pièces du puzzle. Je trouve son écriture riche, avec des analyses, des réflexions intéressantes et enrichissantes… « plus les moments sont beaux, plus leurs souvenirs sont fébriles….. »
      C’est une écriture efficace qui donne vie à cette histoire et tient le lecteur en haleine. C’est un roman que l’on a pas envie de quitter,
      Je trouve que ce livre pourrait être la base du montage d'un scénario de film, on imagine très bien le déroulement des scènes, c’est extrèmement vivant
      J’ai adoré

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  • Rendez-vous de la Page 100
    Vincent apprend par un coup de fil de sa mère la mort de son père détesté. Son retour de l’Inde, où il s’était réfugié suite au décès de son grand frère, à Paris, pour cette occasion funèbre, s’accompagne d’une descente dans les profondeurs de ses souvenirs. La...
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    Rendez-vous de la Page 100
    Vincent apprend par un coup de fil de sa mère la mort de son père détesté. Son retour de l’Inde, où il s’était réfugié suite au décès de son grand frère, à Paris, pour cette occasion funèbre, s’accompagne d’une descente dans les profondeurs de ses souvenirs. La culpabilité de Vincent et la souffrance liée au silence et aux tabous familiaux sont palpables. Au fil de ces premiers chapitres, on entre doucement dans la mémoire de Vincent, on l’accompagne dans ces moments difficiles et on découvre les secrets douloureux de sa vie. L’auteure maîtrise bien l’introspection de son personnage principal, mais on attend plus : plus d’action, plus de découverte, plus de rythme. Cela viendra peut-être dans la deuxième moitié de la lecture.

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    • Madame Aigre-Douce le 24/08/2014 à 13h57

      Narrateur de ce roman, Vincent vit depuis une quinzaine d’années en Inde où il cherche à s’éloigner de sa famille et à retrouver un bonheur simple. Ouvrier de bas-étage dans un atelier textile, il habite une petite maison bleue, ouverte, en bord de Gange et apprécie les couleurs, les odeurs et les minuscules joies de sa vie solitaire. Un jeudi midi, il reçoit un appel de sa mère lui annonçant la mort de son père. Cette courte conversation téléphonique va déclencher son retour en France et l’ouverture de la boîte de Pandore de ses souvenirs. Dans l’avion, le taxi, les rues et parcs parisiens, dans une brasserie, et jusqu’à l’appartement familial, le lecteur suit l’introspection de Vincent et découvre les lourds secrets familiaux qu’il cache. Au fur et à mesure de la lecture, on comprend pourquoi Vincent est parti, pourquoi il a tant éprouvé le besoin de tirer un trait sur son histoire et sur sa famille. Karine Silla, dont « Monsieur est mort » est le premier roman, distille les détails de la vie passée de Vincent au lecteur. Elle arrive à transmettre avec beaucoup de douceur et de psychologie l’histoire de son personnage, les caractères des autres protagonistes, l’ambiance pesante de la solitude qui peut parfois régner au sein même d’une cellule familiale. Lentement, le lecteur peut alors reconstituer le parcours de Vincent, second d’une famille de quatre garçons, fils rebelle d’un père rentier, méchant et manipulateur et d’une mère effacée qui aurait préféré des filles. L’auteure a un style plutôt classique, qui colle à la bourgeoisie parisienne qu’elle décrit. Le roman présente cependant certaines longueurs, et ne doit d’être percutant qu’à son nombre de pages restreint. L’atmosphère est plutôt déprimante, mais le ressenti de Vincent permet l’immersion dans la tragédie de cette famille. Si on était au théâtre, pour lequel la dramaturge Karine Silla écrit habituellement, la pièce serait constituée d’un long monologue de l’acteur principal, et d’une scène de retrouvailles à huis-clos. Les amateurs d’action et de rythme n’y trouveront pas leur bonheur, mais ceux de tragédie et de psychologie se régaleront.

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  • AVIS DE LA PAGE 100...
    Bonjour,je m'arrête à la page 100 à contre cœur pour vous dire que je trouve ce roman passionnant. Cet homme qui à la mort de son père revient au pays natal (la France) après 15 ans d'exil ; et est confronté à tout ses souvenirs qu'il avait refoulé . Surtout que...
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    AVIS DE LA PAGE 100...
    Bonjour,je m'arrête à la page 100 à contre cœur pour vous dire que je trouve ce roman passionnant. Cet homme qui à la mort de son père revient au pays natal (la France) après 15 ans d'exil ; et est confronté à tout ses souvenirs qu'il avait refoulé . Surtout que l'histoire vient selon moi à peine de démarrer et que je viens de découvrir l'un des secrets de famille. J'ai hâte de connaître la suite et y retourne de ce pas .

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    • amelie lorthios le 19/08/2014 à 15h24

      Déjà séduite par la couverture et la quatrième de couverture, j' ai été emportée dès le début par l'ambiance de ce livre qui est lourde et pesante, on sent le poids du passé sur les épaules du héros, de tout les secrets qui sont restés cachés.
      Nous suivons un homme qui rentre en France après quinze ans en Inde, répondant à un appel de sa mère lui demandant son aide après la mort de son père. Petit à petit on découvre les raisons de son départ, jusqu'au bout on se demande s'il va réussir à faire face aux démons de son passé et dans quel état il va en sortir.
      Même si je n'aime pas beaucoup les livres lents où il ne se passe pas grand chose celui-ci m'a emmené dès les premières pages : je voulais découvrir les raisons de son départ, savoir s'il allait oser affronter les fantômes de son passé.
      Le point faible de ce livre est pour moi sa fin, qui n'en est pas vraiment une, j'aimerais savoir ce qui se passe ensuite.
      Quelques jours plus tard, je n'arrive toujours pas à mettre des mots sur mes émotions, ce livre n'est pas de ceux que j'ai l'habitude de lire. Je dirais même qu'il a tous les éléments pour me déplaire (la lenteur, le manque d'action, le héros qui passe son temps à hésiter …) et pourtant ce livre m'a marqué par son univers, j'ai très envie de retrouver le héros et sa famille bancale, ses rencontres très émouvantes. Bref, un livre qui m'a surprise et que je vous conseille.

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