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Marianne, vingt ans. Les barreaux comme seul horizon. Perpétuité pour cette meurtrière.
Indomptable, incontrôlable, Marianne se dresse contre la haine, la brutalité et les humiliations quotidiennes.
Aucun espoir de fuir cet enfer, ou seulement en rêve, grâce à la drogue, aux livres, au roulis des trains qui emporte l'esprit au-delà des grilles. Grâce à l'amitié et à la passion qui portent la lumière au coeur des ténèbres.
Pourtant, un jour, une porte s'ouvre. Une chance de liberté.
Mais le prix à payer est terrifiant pour Marianne qui n'aspire qu'à la rédemption...
Karine Giebel signe un suspense implacable et brosse, avec Marianne, un portrait de femme écorchée digne de la Lisbeth de Stieg Larsson. 24 heures @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE
Coup de cœur pour ce roman noir!
C'est un pavé de près de 1000 pages qui se lit pourtant très vite tant on veut connaître la suite. C'est le genre de livre que l'on dévore pour connaître la fin alors même qu'on ne veut pas y arriver, on ne veut pas le quitter.
Il faut dire que l'auteure nous offre un personnage de taille avec Marianne! Marianne, meurtrière de vingt ans condamnée à perpétuité, ultra-violente, incontrôlable, incapable de gérer sa colère, de museler ses pulsions et pourtant Marianne si touchante, si dure et si fragile, si forte et si abîmée. Avec elle on vit le quotidien des prisons, les matons (les bons et les mauvais), les rapports avec les autres détenues, les luttes de pouvoir, la violence, le cachot, les fouilles, le manque de liberté, d'espace. Avec elle on se révolte, on s'indigne, on sourit, on pleure, on souffre. Et Marianne n'est pas le seul personnage fort de ce roman, loin de là, mais je ne veux pas trop vous en dire.
Ce roman est complètement immersif, l'écriture est imagée et rythmée si bien que l'on visionne très clairement toutes les scènes comme dans un film. Il faut parfois avoir le coeur accroché, certaines scènes sont très dures, très brutales mais rien n'est gratuit, l'histoire est forte et ces violences y ont malheureusement leurs places.
C'est un roman noir et dur sur l'univers carcéral qui ne peut pas laisser indifférent.
Marianne, vingt ans. Les barreaux comme seul horizon. Perpétuité pour cette meurtrière. Indomptable, incontrôlable, Marianne se dresse contre la haine, la brutalité et les humiliations quotidiennes. Aucun espoir de fuir cet enfer, ou seulement en rêve.
Quelle expérience de lecture, déjà, on était 12 à le lire, à échanger, à nous soutenir, car oui, ce livre est tellement bon, mais aussi extrêmement difficile à lire parfois que c'est vraiment un sentiment de confort de pouvoir échanger avec 11 autres personnes.
Pour moi, j'emploie le terme très peu, c'est vraiment un chef d'oeuvre, c'est mon 7éme livre de l'autrice, pratiquement un livre sur deux, c'est un coup de coeur, mais là, on est vraiment au-dessus, je me suis senti complètement immergée dans l'esprit de Marianne et également dans son corps.
J'ai pleuré avec elle, j'ai souffert, j'ai aimé et surtout, j'ai gardé cet espoir, quelle as tout au fond d'elle.
Cette autrice est très douée pour construire des personnages forts auxquels on s'attache, cela était la même chose pour Tama l'héroïne de " Toutes blessent la dernière tue" - Je n'oublierais jamais Marianne, j'ai même rêvé d'elle.
En plus du passé de Marianne qui est vraiment intéressant, c'est le milieu carcéral que l'autrice nous dépeint. J'ai trouvé cela tellement réaliste, c'est violent, c'est cruel, mais cela sonne tellement un vrai malheureusement.
Bon comme ses autres livres, il y a beaucoup de rebondissements, du sentiment ce qui assez rare chez cette autrice, et évidemment tellement addictif.
Le point fort de ce récit, c'est réussir à nous faire aimer ce personnage qui est loin d'être un enfant de choeur et d'arriver à nous émouvoir avec un tel personnage.
Bon j'ai juste raffolé de ce livre, comme je n'en ai jamais aimé aucun autre, je n'oublierais jamais l'histoire de Marianne, même si c'est une fiction.
L'univers carcéral m'a toujours intéressé, je ne sais pas pourquoi j'ai lu beaucoup de livres sur ce sujet, des témoignages et des fictions également, mais aucun ne m'as touché à ce point.
Mais avec cette autrice, on ne sait jamais à quoi s'attendre, peut-être, je lirais un autre livre d'elle que j'aimerais encore plus.
J'ai encore quelques livres d'elle dans ma bibliothèque, mais je les lis par parcimonie de peur qu'il m'en reste plus
Pavé de 988 pages pour personnage principal Marianne, Marianne qui a tué à plusieurs reprises sans trop savoir pourquoi et qui est en prison pour des années. On suit Marianne qui se souvient de sa cavale, de ses meurtres ; de son viol par le gardien, puis de son arrangement pour finalement en tomber amoureuse, Marianne qui a des amis et des ennemis en prison et n'ayant ni un caractère à se laisser amadouer ni à se taire elle n'aura plus d'ennemie que d'amies. Toute cette première partie m'a ennuyé et m'a fait penser à une certaine serie sur le meme sujet qui avait eut le meme effet..
Je voyais bien que Giebel essayait d'en faire une personne à part entiere avec ses faiblesses et ses défauts, mais Marianne est un personnage qui fatigue, elle parle provoque à longueur de temps et puis on passe à la deuxième partie celle ou elle "sort" mais pareil rien à faire, je ne m'attache pas aux personnages, je ne lui trouve pas d'excuse. Les histoires d'amour m'ont fait sourire et pour tout dire meme l'histoire de la video ne m'a pas surprise. Etonnamment le personnage que j'ai trouvé intéressant est : la Marquise. Plus de 900 pages de tortures ,de blabla , de situations rocambolesques en série ça passe en livre quel ennui, je mets un petit plus pour la fin.
Découverte de cet auteur et je dois dire que la lecture fut fluide et haletante. Le ton est donné rapidement, une jeune détenue que rien n’arrête, dont les émotions incontrôlables la mène à commettre l'irréparable. Ces actions la ronge chaque jour un peu plus, une rage mêlée à des sentiments amoureux en fait un cocktail explosif. Pas de temps morts, le récit est rythmé et intense.
Un modèle du genre du roman noir.
Dans ce thriller très sombre, nous suivons Marianne, jeune détenue condamnée à perpétuité pour plusieurs meurtres sauvages. Dans l'enfer carcéral, elle est victime de la cruauté régulière de geôliers en mal d'autorité, de règlements de compte entre codétenues voulant asseoir leur suprématie, aux addictions et à une passion aussi dévorante qu'interdite. Le tableau apocalyptique des conditions carcérales fait froid dans le dos. Dans la seconde partie, Marianne va devoir commettre l'indicible pour assurer sa liberté et sa rédemption... ou pas.
J'ai beaucoup accroché au personnage de Marianne, à sa jeunesse, sa violence, son intelligence et sa volonté féroce d'aller au bout de son chemin. Globalement, les personnages sont bien incarnés, les dialogues mis en forme à la perfection. Le suspense et les séquences d'action entraînent le lecteur dans une lecture addictive et angoissante. Les mille pages se dévorent à toute vitesse, jusqu'à un dénouement digne de Karine Giebel.
J'ai dévoré ces 989 pages sans m'en rendre compte et ai ressenti toutes les émotions : quand je commençais à m'attacher à l'un des personnages, quelques pages plus loin je le détestais, et vice-versa. Passionnant.
A 17 ans, Marianne a déjà des meurtres à son actif. A 20 ans, elle est condamnée à perpétuité. Marianne, en prison est reconnue dangereuse et violente, elle frappe fort et de manière efficace. Marianne a fait des arts martiaux plus jeune et elle était douée. Marianne est nerveuse, Marianne est double. Elle peut être attachante mais cela ne dure que quelques minutes. Tout peut basculer très vite, et là Marianne devient un monstre. Marianne cogne, Marianne tue.
J'ai dévoré ces 988 pages. Non je ne me suis pas vraiment attachée à Marianne pour qui je n'ai pas vraiment eu d'empathie car vraiment très violente pour moi mais elle m'a fait vibrer, m'a accrochée à son histoire et m'a parfois touchée. Au vu du décor, il ne faut pas s'attendre à de la tendresse. Il y en a très peu. C'est violent, c'est nerveux, ça cogne ça saigne. Marianne encaisse beaucoup mais elle rend les coups.
Une sénario effroyable, une héroïne complètement paumée, un milieu dégueulasse, des bons, des méchants. Heureusement au coeur de toute cette violence, on a un petit peu de lumière, un tout petit peu d'amour, juste un soupçon d'amitié mais tout ca pour mieux nous assommer.
Un page Turner, un coup de poing pour ma première rencontre avec Karine Giébel qui m'a plongée dans un monde inconnu, face à toute cette violence, m'a angoissée et a réussi à m'accrocher à des personnages pour lesquels je n'aurais pas pu avoir de l'empathie, que j'ai détesté à certaines pages, voulu voir heureux à d'autres. Je suis sortie secouée de cette lecture.
J ai découvert cette auteur avec ce livre qui est dur , dérangeant mais qu on ne peut pas lâcher avant la fin !
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