Le jury de la 16e édition, présidé par Jean-Christophe Rufin, a délibéré
« J'aimerais pouvoir dire que le soleil se lèvera encore Au fond de moi, même si j'ai raison, vous en ferez mon tort.
La raison du plus bête est toujours la meilleure C'est le monde des paradoxes, et ce n'est nulle part ailleurs... » Entre tendre illusion et désillusion, Nezar Thalal compose une palette de sentiments pour mieux exprimer son chagrin du monde. Les vers sont les pinceaux avec lesquels il peint un dégradé d'émotions, dont l'étendue chromatique va de la douce mélancolie au spleen absolu. Mélodieux, ses poèmes se psalmodient pour mieux se faire entendre.
Soudain, au détour d'un vers, une lueur d'espoir émerge d'une délicieuse noirceur. Timide et inquiète d'un avenir incertain, elle dissipe tout de même la brume du vague à l'âme et donne un autre écho à ce recueil.
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Dernière réaction par Corinne il y a 2 jours
Dernière réaction par Sandra Masara il y a 4 jours
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