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Lunch-box

Couverture du livre « Lunch-box » de Emilie De Turckheim aux éditions Gallimard
  • Date de parution :
  • Editeur : Gallimard
  • EAN : 9782072897849
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

« La lunch-box est une bête pleine d'appétit. Elle grogne, elle n'en a jamais assez. Elle provoque chez la mère une pulsion de remplissage. Tout le vertige vient de la forme de la lunch-box : n'oublions pas que c'est une valise. C'est chaque matin la répétition du grand départ. La mère regarde... Voir plus

« La lunch-box est une bête pleine d'appétit. Elle grogne, elle n'en a jamais assez. Elle provoque chez la mère une pulsion de remplissage. Tout le vertige vient de la forme de la lunch-box : n'oublions pas que c'est une valise. C'est chaque matin la répétition du grand départ. La mère regarde son enfant s'éloigner de la maison et elle espère qu'il ne lui manquera rien. Ni pain ni amour. » Dans la ville rêvée de Zion Heights, sur la baie du détroit de Long Island, un petit monde gravite autour de l'école bilingue : les mères délurées organisent des garden-parties, les pères, souvent absents, suivent de loin les affaires de la vie courante, les couples se font et se défont tandis que les enfants préparent le spectacle de fin d'année. Tous ont pour coqueluche Sarah, la professeur de chant, célèbre pour ses comédies musicales extravagantes. Jusqu'au jour où, par accident, elle bouleversera leurs vies et la sienne, à jamais.
Ce roman lumineux, où l'émotion affleure à chaque page, explore la manière dont chacun, témoin, victime ou coupable, surmonte l'irrémédiable.

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Avis (10)

  • Le début de ce roman m'a complètement dérouté : une sorte de poème, puis le récit de la mort d'un employé de la piscine municipale, foudroyé alors qu'il dégustait son gâteau préféré. C'est en fait le moyen de nous faire plonger dans un lieu et une communauté spécifiques.
    A Zion Heights, aux...
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    Le début de ce roman m'a complètement dérouté : une sorte de poème, puis le récit de la mort d'un employé de la piscine municipale, foudroyé alors qu'il dégustait son gâteau préféré. C'est en fait le moyen de nous faire plonger dans un lieu et une communauté spécifiques.
    A Zion Heights, aux Etats Unis, une petite communauté fréquente l'école franco-américaine : Sarah, une enseignante, organise chaque année des spectacles de fin d'année éblouissants et est adorée des élèves comme des parents. Elle rend d'ailleurs service à ces derniers en prenant en charge 6 élèves chaque matin pour les accompagner dans son van à l'école.Mais un jour l'impensable se produit et tous ces personnages se révèlent : la mère d'élève insensible, le père qui n'aime plus sa femme mais ne parvient pas à la quitter, la direction de l'établissement qui désavoue son enseignante... Le deuil des parents de Laëtitia est poignant, parfois insoutenable. On voit deux adultes en perdition, en souffrance absolue et incapable de communiquer ou de se raccrocher l'un à l'autre.
    J'ai aimé ce livre mais sa construction m'a laissée perplexe : pourquoi ce premier chapitre sur la mort de Monsieur Patok? Certains aspects par contre ont été survolés : la relation de Solenn avec son premier amour, les regrets que cela peut sembler engendrer, le couple en perdition qui se disloque à la mort de leur fille.
    Belle lecture.

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  • Ce brillant roman d’Émilie de Turckheim imite à la perfection le contenant auquel il doit son nom. S’ouvrant en deux parties presqu’égales, il propose, dans la première, les douces saveurs légèrement acidulées de la vie de quartier dans une petite banlieue américaine proprette, avec ce qu’elle...
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    Ce brillant roman d’Émilie de Turckheim imite à la perfection le contenant auquel il doit son nom. S’ouvrant en deux parties presqu’égales, il propose, dans la première, les douces saveurs légèrement acidulées de la vie de quartier dans une petite banlieue américaine proprette, avec ce qu’elle suppose de petits rituels, de petits ragots, de petits services rendus pour maintenir le sacro-saint « rapport de bon voisinage ». On y découvre Sarah, professeure de musique fantasque et adulée de ses élèves, offrant au collège bilingue dans lequel elle officie la brillante réputation de ses spectacles de fin d’année à nuls autres pareils, et à ses voisins sa participation au covoiturage organisé pour le dépôt matinal de leurs petits au pied des marches dudit collège. Le contenu de la seconde partie a le goût amer des regrets et la consistance insoluble, étouffante et indigeste des remords qui vous restent en travers de la gorge ou sur l’estomac, de cette lourdeur qui, dorénavant et pour toujours, entravera vos mouvements, pèsera sur votre vie. La charnière est si légère, pourtant, entre ce haut et ce bas, cet avant et cet après, ce délicieux et cet insupportable. Elle s’articule autour d’une poignée de détails, quelques secondes, un silence, un regard, une hésitation peut-être ? C’est le constat douloureux que feront Sarah et tous ceux qui, de près ou de loin, se coinceront les doigts et la mémoire dans cette pliure du temps par laquelle se referme celui de la légèreté. Et chacun aura beau se repasser le film, tenter de remonter l’histoire, de compter à rebours, rien n’y fera : une fois jailli hors de sa boîte, aucun diable n’y retourne
    Quelle finesse dans l’art consommé d’écrire, de construire, de décrire cet insidieux sentiment de culpabilité qui traverse et entoure les drames. Quelle habileté à nous mener tous, personnages et lecteurs, au bord de l’abime, à cet endroit vertigineux où l’appel du vide est si fort que l’on sent monter un cri d’effroi à l’idée que la chute pourrait être la nôtre. Quelle grâce dans cette écriture à la fausse légèreté primesautière qui sonde les âmes jusque dans leurs recoins cachés pour y débusquer l’infernale certitude d’être coupable. Laissons le diable dans les détails, en ouvrant cette box-là, c’est tout le talent d’Émilie de Turckheim qui vous sautera au visage et vous marquera pour longtemps !

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  • "Un accident est un problème de tempo. Un décalage. Il aurait suffi d'un battement supplémentaire de métronome pour que nos vies soient sauvées".

    Quoi de plus insignifiant qu'une lunch-box dans ce quartier résidentiel de Zion Heights sur la baie de Long Island qui abrite une communauté...
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    "Un accident est un problème de tempo. Un décalage. Il aurait suffi d'un battement supplémentaire de métronome pour que nos vies soient sauvées".

    Quoi de plus insignifiant qu'une lunch-box dans ce quartier résidentiel de Zion Heights sur la baie de Long Island qui abrite une communauté d'expatriés autour de l'école bilingue ? Ces petites boîtes que les mères (les pères très occupés par leurs vies professionnelles semblent en ignorer l'existence) remplissent avec amour et attention pour le déjeuner de leur progéniture ont fini par devenir un symbole de leur intégration au mode de vie américain. Un objet du quotidien, banal, et qui pourtant, objet central d'un accident va bouleverser les vies de toute la communauté. C'est ce que met en scène avec un parfait sens du timing et de la narration Emilie de Turckeim en s'inspirant d'un fait divers survenu en 1987 alors que, enfant elle résidait dans cette région des Etats-Unis avec ses parents. On imagine très bien comment cette histoire s'est tracé un chemin dans l'esprit de la romancière tentant de suivre les méandres capricieux du destin, d'emprunter les voies suggérées par les multiples "et si...", esquissant des tentatives d'explications qui viennent se briser sur les murs de l'incompréhension. Un accident, c'est une conjonction complexe d'éléments qui tendent vers un objectif qu'aucun des protagonistes de maîtrise. Des éléments que l'on peut ensuite passer sa vie à décortiquer pour tenter de leur trouver un sens.

    Dans ce roman, personne n'est coupable et tout le monde l'est. La question est de savoir comment à présent que le drame s'est produit chacun va pouvoir vivre avec. A commencer par Sarah, professeure adulée et recherchée, sorte de mascotte de l'école jusqu'à ce que son rôle au premier rang de l'accident ne la propulse dans le camp des indésirables. Et Solène, bien sûr, anéantie au point de devenir jalouse d'une loutre et de trouver du réconfort dans son mémoire de droit sur "La théorie de la causalité adéquate". Emilie de Turckheim raconte cette petite communauté, ses codes, cette façon significative d'intégrer ou d'exclure un membre que l'on a pu apprécier dans nombre de séries américaines, mais elle le fait avec une empathie rédemptrice. Et surtout elle s'empare avec maestria de cet état en apesanteur dans lequel chacun peut être plongé lorsque survient l'irréversible et que l'on ne sait plus à qui ni à quoi se raccrocher. Pour mieux les suivre sur le chemin de la consolation.

    Lunch-Box est un roman qui se lit en apnée, dans lequel j'ai retrouvé avec plaisir l'univers d'Emilie de Turckheim et son génie narratif. Une auteure à laquelle la ville du Mans devrait décerner une médaille pour cette dernière phrase "Elle me dit qu'elle est certaine que la ville du Mans me plaira. Les Manceaux et les gens de passage le savent : on y fait les plus grandes rencontres de sa vie."

    (Chronique publiée sur mon blog : motspourmots.fr)

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  • J’avais rencontré Emilie de Turckheim dans un salon et elle avait été très agréable et souriante. On avait discuté autour de son roman/essai qui traitait du thème des migrants et dont j’avais adoré l’engagement.

    Pour ce « Lunch Box », l’autrice revient au fictionnel et place son histoire dans...
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    J’avais rencontré Emilie de Turckheim dans un salon et elle avait été très agréable et souriante. On avait discuté autour de son roman/essai qui traitait du thème des migrants et dont j’avais adoré l’engagement.

    Pour ce « Lunch Box », l’autrice revient au fictionnel et place son histoire dans l’Est américain. Elle nous fait entrer dans le quotidien de différentes familles. Les chapitres alternent entre chaque protagoniste. Grâce à la troisième personne, on regarde ces gens cohabiter dans leur petite communauté. On découvre leurs habitudes, leurs échanges, leurs organisations. Les us et coutumes de cette région sont décrites à merveille. Malgré quelques tensions, la vie s’écoule comme un long fleuve tranquille.

    Mais malheureusement cette quiétude est bouleversée par un terrible drame. Le groupe explose alors en plusieurs morceaux : les victimes, les coupables désignés et les jurés populaires. La narration passe à la première personne afin de plonger dans l’esprit des acteurs et actrices. Quel que soit le camp, on constate les dégâts qu’occasionne une telle tragédie dans leurs vies respectives.

    Ce texte prend sa source dans un fait réel, ce qui explique son réalisme. L’autrice fait preuve d’une authenticité dans les descriptions de la vie américaine, et surtout d’une justesse dans les émotions. Elle ne cherche pas à faire du sentimentalisme. Elle est au plus près de ses personnages et nous fait ressentir leurs sensations les plus intimes. Grâce à une plume sensible, elle nous ouvre les portes sur des vies brisées par la culpabilité ou par du deuil.

    Lors de mon échange avec l’autrice, elle dégageait une bienveillance naturelle que je retrouve dans ses textes. Elle nous fait aimer ses personnages en dépit de leurs défauts et de leurs comportements. Une nouvelle fois, Emilie de Turckheim met son humanité au service d’une histoire vraie et touchante. Un très beau livre !

    https://leslivresdek79.wordpress.com/2021/06/10/663-emilie-de-turckheim-lunch-box/

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  • Dès les premières pages, je suis entrée dans ce livre, dans cette histoire, aux côtés de Sarah Hopkins, surnommée "Jézu", professeur de chant dans une école bilingue, aux Etats-Unis. Adorée par ses élèves, elle monte chaque année des comédies musicales peu ordinaires. Deux fois par semaine elle...
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    Dès les premières pages, je suis entrée dans ce livre, dans cette histoire, aux côtés de Sarah Hopkins, surnommée "Jézu", professeur de chant dans une école bilingue, aux Etats-Unis. Adorée par ses élèves, elle monte chaque année des comédies musicales peu ordinaires. Deux fois par semaine elle accompagne 6 enfants dans son van, de chez eux à l'école. Elle donne aussi des cours de piano, à des enfants et à des adultes. Sarah est lumineuse et bienveillante, jusqu'au jour où il se passe un drame à cause d'une lunch-box. Sarah est amoureuse de David à qui elle donne des cours. David lit beaucoup de livres, se coupant des autres, ayant du mal à communiquer, s'éloignant de plus en plus de Solène sa femme.
    L'accident va bouleverser la vie de nombreuses personnes, qui vont se sentir coupables et réagiront différemment : douleur, haine, rejet, exclusion de la "coupable".
    Emilie de Turckheim a écrit un roman lumineux, bouleversant, qui ne se lâche plus une fois commencé. Elle aborde de nombreux sujets : la fatalité, le deuil, la culpabilité et dépeint une communauté d'expatriés français vivant aux Etats-Unis, qui m'a rappelée l'univers des romans de Liane Moriarty qui eux se déroulent en Australie ("Le secret du mari", "Petits secrets et grands mensonges", "Un peu, beaucoup, à la folie" et "A la recherche d'Alice Love").

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  • Véritable institution aux États-Unis, la Lunch-box est ce que le jambon-beurre est au déjeuner des français. C'est donc au cœur d'une ville de fiction qu'Emilie de Turckheim a choisi de nous la faire découvrir. Là, dans la baie de Long Island, les familles sont heureuses. Beaucoup de français...
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    Véritable institution aux États-Unis, la Lunch-box est ce que le jambon-beurre est au déjeuner des français. C'est donc au cœur d'une ville de fiction qu'Emilie de Turckheim a choisi de nous la faire découvrir. Là, dans la baie de Long Island, les familles sont heureuses. Beaucoup de français s'y sont installés. L'école est donc bilingue. Les mamans passent leur temps à confectionner des gâteaux et à s'investir dans la vie scolaire de leurs enfants. Ces familles semblent vivre dans un monde idéal, préservées de tout, jusqu'au drame de la Lunch-box. Le vrai visage des uns et des autres va-t-il enfin se révéler ?

    Lunch-box est un récit choral binaire. Il y a l'avant et l'après le drame.
    En premier lieu, l'auteure nous plonge dans l'ambiance. Tout commence avec la gourmandise de M. Patok. Un vieux Monsieur prêt à tout, notamment à traverser la ville, pour se délecter de son péché mignon, un gâteau à la noix de pécan. Malheureusement, il meurt foudroyé alors qu’il n’y avait objectivement aucune raison qu'il soit touché par la foudre. Les présentations se poursuivent via une voix off qui nous campe les personnages ainsi que leur lieu de vie idyllique. Immédiatement, la tonalité m'a fait penser à Amélie Poulain. J'allais me délecter de cette Lunch-Box. Je n'en ai pas eu le temps. Question de tempo, d'accident. Si le décor reste le même, l'ambiance a littéralement changé. Nous voici propulsés dans ces lotissements typiquement américains à la Desperate Housewives. À la magie de la première partie succède une atmosphère plus superficielle, déliquescente. Les masques tombent, la vérité claque. Et à partir de cet instant, l’auteure m’a tenue à distance. En disséquant la tragédie, elle m'a projetée dans un monde dénué d’empathie, d’humanité. C'est vraiment dommage car mélanger l’univers poétique d’Amélie Poulain et celui plus superficiel des Desperate était une idée très originale.

    Quoi qu'il en soit, Lunch-box reste un roman très original pour aborder la question du deuil. De plus, Emilie de Turckheim a une belle plume et a su composer un menu tout en finesse. Alors, vous lirez bien Lunch-box pour votre déjeuner ?

    https://the-fab-blog.blogspot.com/2021/04/mon-avis-sur-lunch-box-demilie-de.html

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  • Un roman émouvant; il y a certes des anecdotes mais l'essentiel tourne autour de deux femmes et de la mort accidentelle d'une fillette (où une lunch box est en cause) . Laëtitia aurait pu rester chez elle ce jour là: un peu fiévreuse mais sa mère l'expédie vers le van de Sarah, institutrice et...
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    Un roman émouvant; il y a certes des anecdotes mais l'essentiel tourne autour de deux femmes et de la mort accidentelle d'une fillette (où une lunch box est en cause) . Laëtitia aurait pu rester chez elle ce jour là: un peu fiévreuse mais sa mère l'expédie vers le van de Sarah, institutrice et prof de musique dans une école bilingue: celle-ci a été sollicitée pour emmener les six enfants de sa rue jusqu'à l'école, deux fois par semaine. Un moment d'inattention et c'est le drame: Sarah démarre sans deviner que la petite fille est sous le véhicule pour récupérer sa lunch box; elle écrase la petite.
    Qui vit le pire? La mère qui perd son enfant ou celle qui l'a tuée?

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  • Nous voici au sein d'une communauté d'expatriés français aux Etats-Unis. Sarah, 21 ans, la professeur de musique, star du lycée grâce à ses spectacles de fin d'année scolaire, a tué accidentellement Laeticia, 8 ans, fille de Solène et David.
    J'ai eu un mal fou à rentrer dans ce roman avec des...
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    Nous voici au sein d'une communauté d'expatriés français aux Etats-Unis. Sarah, 21 ans, la professeur de musique, star du lycée grâce à ses spectacles de fin d'année scolaire, a tué accidentellement Laeticia, 8 ans, fille de Solène et David.
    J'ai eu un mal fou à rentrer dans ce roman avec des premiers chapitres qui semblent sans lien les uns avec les autres (une bestiole qui pique, l'histoire de Mr Patok tué par la foudre en pleine rue...). En fait, l'auteur commence par la fin sans que nous le sachions et on ne le découvre que petit à petit. Ce procédé narratif, quand il n'y a pas d'indice pour nous l'indiquer, me perturbe car, à essayer de comprendre, je passe à côté de l'émotion, de la saveur du texte et de la beauté de l'écriture.
    Le roman bascule au moment de la mort de Laeticia et ce n'est qu'à partir de là que j'ai commencé à ressentir des émotions face à la douleur déchirante de Solène, la mère, au désarroi plein de culpabilité et à la solitude de Sarah, tenue éloignée de la communauté, à l'insupportable superficialité de l'organisatrice du buffet de la fête.
    J'ai été ravie de découvrir, à travers ce roman, une auteure que je ne connaissais pas et dont je lirai probablement un ou plusieurs des opus antérieurs.

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