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L'oeuvre du vieux moine t.1 ; le dernier chemin des templiers

Couverture du livre « L'oeuvre du vieux moine t.1 ; le dernier chemin des templiers » de Rudy Cambier aux éditions Louise Courteau
Résumé:

Selon Rudy Cambier, le véritable auteur des centuries n'est pas Nostradamus mais le 15ème abbé de la grande abbaye cistercienne de Cambron, c'est-à-dire Yves de Lessines. "Le Vieux Moine" indique le chemin à suivre pour retrouver les biens cachés du Temple, en nommant les lieux, voire en... Voir plus

Selon Rudy Cambier, le véritable auteur des centuries n'est pas Nostradamus mais le 15ème abbé de la grande abbaye cistercienne de Cambron, c'est-à-dire Yves de Lessines. "Le Vieux Moine" indique le chemin à suivre pour retrouver les biens cachés du Temple, en nommant les lieux, voire en décrivant leurs particularités. La multiplicité des toponymes, toujours en usage aujourd'hui dans le Pays des Collines à cheval sur Flandre et Hainaut, est l'un des arguments majeurs de la démonstration de Rudy Cambier. Conservé pendant deux siècles dans la bibliothèque abbatiale, le manuscrit du Vieux Moine fut volé au 16ème siècle par un visiteur provençal, un certain Nostradamus. Au bout du chemin était Rudy Cambier. Après avoir lu ce livre, vous ne verrez plus Nostradamus comme avant ! En novembre 1990, Rudy Cambier entrait dans le labyrinthe à chausse-trappes des « prophéties » de Michel Nostredame. Tout de suite, il éventa un premier piège : le Provençal du 16ème siècle, qui publia les centuries sous le nom de Nostradamus, fournissait un produit bizarrement concocté : une langue du 16ème mais avec de lourdes scories d'ancien français du temps du Moyen-Âge. Deuxième piège : dans le salmigondis d'un Provençal du sud baragouinant le français se cachaient des mots picards, et même pire : des mots flamands, germaniques, encore plus au nord. Pire que tout : ces mots-là, manifestement, Nostradamus n'en avait pas compris le sens ! Quelque chose clochait ! C'est de ce premier constat que toute la recherche de Rudy Cambier est partie. Qui démontre quoi ? Que les centuries ne sont pas des prophéties. Que c'est un livre d'histoires et d'une histoire en particulier : celle, sous forme d'énigme, de l'Ordre du Temple et de sa destruction par Philippe le Bel, un vendredi noir de 1307. Les Templiers, raconte l'auteur, avertis à temps, ont pu sauver leurs archives, leurs précieuses reliques et une partie de leur « trésor ». Très logiquement, ils les ont transportés hors des territoires du roi de France, dans une de leurs propriétés du Nord, une enclave située au coeur de ce qu'on appelait La Terre des Débats, à portée de la protection de l'abbaye cistercienne de Cambron. Rudy Cambier est philologue et médiéviste.

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