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Lire et écrire

Couverture du livre « Lire et écrire » de Maurice Chapelan aux éditions Grasset
Résumé:

Depuis Main courante, paru en 1957, qui obtint le prix du " Journal intime " et fut accueilli très favorablement par la critique, on sait que Maurice Chapelan a choisi de s'exprimer sous la forme de notes " au gré de sa fantaisie ". Il les griffonne sur des carnets à trente-cinq francs, qui... Voir plus

Depuis Main courante, paru en 1957, qui obtint le prix du " Journal intime " et fut accueilli très favorablement par la critique, on sait que Maurice Chapelan a choisi de s'exprimer sous la forme de notes " au gré de sa fantaisie ". Il les griffonne sur des carnets à trente-cinq francs, qui entrent largement dans sa poche à côté de son portefeuille : " Ils ont quarante-huit feuillets quadrillés, avoue-t-il, retenus par un ressort à boudin, entre deux rectangles de carton souple et vaguement glacé, bleu, vert, jaune, orangé ou rouge. Ma femme les achète au petit bazar de Coye. " Cette forme littéraire, qui lui est la plus naturelle, a aussi l'avantage de se concilier fort bien avec le métier de journaliste et celui d'éditeur que Maurice Chapelan mène de front. S'il a intitulé Lire et écrire les nouveaux extraits de ses carnets que voici, c'est qu'il s'agit de réflexions qui lui ont été inspirées à la fois par sa double activité professionnelle et, bien entendu, par un retour sur lui-même en tant qu'homme qui lit et qui écrit avant tout pour son plaisir.

Le présent ouvrage comprend, en outre, sept courts chapitres, groupés sous le titre Règlements de comptes, où l'auteur s'est fait un devoir de payer quelques dettes - ou parfois de réclamer son d-. Et comme il lui est arrivé de traduire quelques poèmes de Novalis, de Hölderlin et quelques robaï d'Omar Khayyam, il les a glissés à la fin du livre, en se disant que s'il ne leur faisait pas une place là ils ne sauraient en avoir nulle part.

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