Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
La ligne 9 relie la mairie de Montreuil au pont de Sèvres. C'est la plus longue du métro parisien.
Sous la plume de Guy Konopnicki, qui n'a jamais cessé de l'emprunter, elle devient un parcours romanesque.
Trente-huit stations, trente-huit chapitres. Toute l'action se situe sur la ligne. Le personnage principal, Joseph Kaplan, a trente-huit ans en 1983, et il voyage en compagnie des fantômes de l'histoire. Son métro mène du Paris ouvrier aux beaux quartiers, il flâne sous les Grands Boulevards et passe par les sommets de l'Etat. Là-haut, c'est comme dans le métro, on est poursuivi par les slogans publicitaires. Joseph Kaplan est entré dans la vie avec un ticket périmé, qu'il a troqué pour ceux du PMU, mais, pour lui, la ligne 9 sera aussi une ligne d'amour. En voiture, donc. Et prenez garde à la fermeture automatique des portières.
« C'est à la fois drôle et picaresque, bien informé plein de nerve et de rage. Bref, ça se lit d'une traite ».
Gilles Pudlowski, Le Point.
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